mercredi 16 février 2011

Un article pour ceux qui ne se croient pas capables de ...

Mon maître d'école
Publié par Ambroise le 14 Février 2011 à 9 30
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Un jour de dernière année du secondaire, j'entrai dans une classe pour attendre un de mes amis. Je venais de franchir la porte lorsque le titulaire de la classe, M. Washington, apparut soudainement et me demanda d'aller au tableau pour écrire quelque chose, pour faire un exercice.
Je répondis que j'en étais incapable.
Il rétorqua : «Et pourquoi donc ?»
«Parce que je ne suis pas un de vos élèves», dis-je.
Il dit : «Cela n'a pas d'importance, allez quand même au tableau».
Je répondis de nouveau : «Je ne peux pas».
Il répéta : «Et pourquoi donc ?»
Embarrassé, je restai un moment silencieux.
Puis j'avouai : «Parce que je suis un déficient mental léger».

Il contourna son bureau, s'avança vers moi, me regarda et dit :
«Ne redites jamais cela. Vous n'êtes pas obligé de croire ce que les autres pensent de vous».
Ce fut un instant très libérateur pour moi. A l'école, les moqueries des autres élèves m'humiliaient car ils savaient tous que j'étais dans une classe adaptée. Puis voilà que M. Washington me libérait du carcan de l'opinion des autres en me faisant remarquer que je n'avais pas besoin de m'y assujettir.
C'est ainsi que M. Washington est devenu mon conseiller.

Avant de le rencontrer, j'avais redoublé à deux reprises. Au début de ma dernière année au primaire, on m'avait étiqueté «déficient mental léger» et on m'avait redescendu dans la classe inférieure. J'avais également échoué ma première année du secondaire.
M. Washington marqua profondément ma vie. Je me dis aujourd'hui qu'il agissait dans l'esprit de ces paroles de Goethe : «Traitez quelqu'un tel qu'il est et il ne fera qu'empirer. Traitez-le tel qu'il pourrait être et il deviendra tel qu'il devrait être».
M. Washington avait aussi fait sienne cette maxime de Calvin Lloyd : «On ne s'élève pas en-deça de ses espérances».

Il donnait toujours à ses élèves l'impression qu'il avait de grandes espérances pour eux et nous, ses élèves, nous efforcions d'être à la hauteur de ses attentes.
J'étais encore un élève de premier cycle à l'école secondaire lorsque je l'entendis un jour prononcer un discours devant des élèves qui allaient obtenir leur diplôme d'études secondaires. Il disait : «Vous avez tous en vous la grandeur, quelque chose d'exceptionnel. Si seulement l'un de vous peut entrevoir sa pleine mesure, ce qu'il est véritablement, ce qu'il a d'unique, ce qu'il peut apporter au monde, alors d'un point de vue historique, l'humanité ne sera plus jamais la même. Vos parents, votre école, votre milieu, tous seront fiers de vous. Vous pouvez toucher la vie de millions de gens».

Mr.Washington s'adressait à des finissants mais j'eus l'impression que c'est à moi qu'il parlait. Je me rappelle l'ovation que les finissants firent à M. Washington.
Après son discours, je le rattrapai dans le stationnement et lui dis «M. Washington, vous souvenez-vous de moi ? J'étais dans la salle pendant votre discours aux élèves de dernière année».
«Que faisiez-vous là ? Si je ne m'abuse, vous êtes encore au premier cycle ?», répondit-il.
«Je sais, Monsieur. Votre discours m'est parvenu à travers les portes de l'auditorium et je suis entré car j'ai senti que c'est à moi qu'il s'adressait. Vous disiez que chacun avait en lui la grandeur. Je l'ai entendu. Est-ce que j'ai la grandeur en moi, Monsieur ?».
«Oui, M. Brown», dit-il.

«Alors comment se fait-il que j'ai échoué en anglais, en maths et en histoire et que je devrai suivre des cours d'été ? Comment se fait-il, Monsieur ? Je suis plus lent que les autres. Je ne suis pas aussi intelligent que mon frère ou que ma sœur qui va étudier à l'université de Miami».
«Cela n'a pas d'importance. Cela signifie simplement que tu dois redoubler d'ardeur. Ce ne sont pas tes résultats scolaires qui déterminent ce que tu es et ce que tu peux faire dans la vie».
«J'aimerais offrir une maison à ma mère».
«C'est une chose possible, M. Brown. Vous en êtes capable» et il se retourna pour continuer son chemin.
«M. Washington ?».«Qu'est-ce qu'il y a encore ?».
«Euh!... je suis celui dont vous parliez tout à l'heure, Monsieur. Souvenez-vous de moi, n'oubliez pas mon nom. Un jour, vous l'entendrez de nouveau. Je suis celui dont vous serez fier un jour, Monsieur».

L'école avait été jusque-là une lutte de tous les instants. Je montais d'une classe chaque année parce que je n'étais pas un vilain garnement. J'étais plutôt gentil garçon. Je m'amusais, je faisais rire les autres. J'étais poli et respectueux. Les enseignants m'accordaient donc les notes de passage, ce qui ne m'aida guère. Puis, il y eut M. Washington qui m'imposa ses exigences. Il m'apprit à être responsable de mes actes et c'est ainsi que je commençai à croire que j'étais capable, que je pouvais réussir.Pendant ma dernière année à l'école secondaire, M. Washington me prit sous son aile, même si j'étais encore en classe adaptée.
En temps normal, les élèves des classes adaptées ne suivent pas le cours d'art dramatique mais on fit exception pour moi. Le directeur de l'école se rendit compte du lien qui s'était noué et de l'influence que M. Washington exerçait sur moi car mes résultats scolaires étaient meilleurs. Pour la première fois de ma vie, mon nom figura au tableau d'honneur de l'école.
C'était un véritable miracle puisque je voulais aller en voyage d'études avec le département d'art dramatique et qu'il fallait figurer au tableau d'honneur pour y participer !

M. Washington transforma de fond en comble ma perception de moi-même. Il me révéla ma pleine mesure, celle qui dépassait mon conditionnement mental et les circonstances de ma vie.

Des années plus tard, devenu producteur d'une série de cinq émissions spéciales diffusées sur un réseau de télévision publique, je demandai à des amis de téléphoner à M. Washington dans le cadre de mon émission «You deserve» (Des personnes de mérite), diffusée par la station de télévision éducative de Miami.
J'étais assis près du téléphone à attendre son appel lorsqu'il me téléphone de Détroit. Il dit : «Puis-je parler à M. Brown, s'il vous plaît ?».
«Qui est à l'appareil ?».«Vous le savez très bien».
«Ah ! C'est vous, M. Washington».«Vous étiez bien celui dont je parlais, n'est-ce pas ?».
«Oui, Monsieur, celui-là même».

Un autre spectacle superbe

J'ai reçu cette vidéo et je vous la fais partager, c'est tout simplement magnifique. Juste trop rapide ....j'aurais tant voulu admirer chacun des plans !!!
Transmis par Maïtha


Pour voir ce clip de la BBC sur plein écran cliquez sur Plein écran dans l'onglet en bas à droite du vidéo.
http://www.youtube.com/watch_popup?v=2HiUMlOz4UQ&vq=large

mardi 15 février 2011

dimanche 13 février 2011

Trois diaporamas









Un message de Fabienne Marsaudon, auteur-interprète

Bonjour,

Je viens de réaliser et de mettre en ligne sur youtube trois diaporamas à partir de mes chansons,

Un hommage à Andrée Chédid:

1,2,3 sommeil! avec les illustrations de Marc Chaubaron

La dame à la Rose
Aujourd'hui c'est la Saint Valentin et ce troisième diaporama est tout à fait de crconstance !
Jean-Loup








vendredi 11 février 2011

Noé, Dieu et le déluge







En 2009 après Jésus-Christ, Dieu visite Noé et lui dit:
- Une fois encore, la terre est devenue invivable et surpeuplée. Construis une arche et rassemble un couple de chaque être vivant ainsi que quelques bons humains.
Dans six mois, j'envoie la pluie durant quarante jours et quarante nuits, et je détruis tout !
Six mois plus tard, Dieu retourne visiter Noé et ne voit qu'une ébauche de construction navale.
- Mais, Noé, tu n'as pratiquement rien fait ! Demain il commence à pleuvoir!
- Pardonne-moi, Tout Puissant, j'ai fait tout mon possible mais les temps ont changé:
J'ai essayé de bâtir l'arche mais il faut un permis de construire et l'inspecteur me fait des ennuis au sujet du système d'alarme anti-incendie.
Mes voisins ont créé une association parce que la construction de l'échafaudage dans ma cour viole le règlement de copropriété et obstrue-leur vue...
J'ai dû recourir à un conciliateur pour arriver à un accord. Mais l'Urbanisme m'a obligé à réaliser une étude de faisabilité et à déposer un mémoire sur les coûts des travaux nécessaires pour transporter l'arche jusqu'à la mer.
Pas moyen de leur faire comprendre que la mer allait venir jusqu'à nous. Ils ont refusé de me croire.
La coupe du bois de construction navale s'est heurtée aux multiples Associations pour La Protection de l'Environnement sous le triple motif que je contribuais à la déforestation, que mon autorisation donnée par les Eaux et Forêts n'avait pas de valeur aux yeux du Ministère de l'environnement, et que cela détruisait l'habitat de plusieurs espèces animales.
J'ai pourtant expliqué qu'il s'agissait, au contraire de préserver ces espèces, rien n'y a fait.
J'avais à peine commencé à rassembler les couples d'animaux que la SPA et WWF me sont tombés sur le dos pour acte de cruauté envers les animaux puisque je les soustrayais contre leur gré à leur milieu naturel et que je les enfermais dans des pièces trop exiguës.
Ensuite, l'agence gouvernementale pour le Développement Durable a exigé une étude de l'impact sur l'environnement de ce fameux déluge.
Dans le même temps, je me débattais avec le Ministère du Travail qui me reprochait de violer la législation en utilisant des travailleurs bénévoles Je les avais embauchés car les Syndicats m'avaient interdit d'employer mes propres fils, disant que je ne devais employer que des travailleurs hautement qualifiés et, dans tous les cas, syndiqués.
Enfin le Fisc a saisi tous mes avoirs, prétextant que je me préparais à fuir illégalement le pays tandis que les Douanes menaçaient de m'assigner devant les tribunaux pour 'tentative de franchissement de frontière en possession d'espèces protégées ou reconnues comme "dangereuses".
Aussi, pardonne-moi, Tout Puissant, mais j'ai manqué de persévérance et j'ai abandonné ce projet.
Aussitôt les nuages se sont dissipés, un arc-en-ciel est apparu et le Soleil a luit.
- Mais tu renonces à détruire le monde ? demanda Noé.
- Inutile, répondit Dieu, l'administration s'en charge..

jeudi 10 février 2011

Qui est l'homme civilisé vraiment humain ?

Une vidéo exceptionnelle sur la sagesse des amazoniens

L'éradication espagnole du 16ème siècle n'en est pas venue à bout .....

Un reportage sur les réactions d'amazoniens découvrant notre civilisation moderne sur un écran portable.

Un indicateur pour notre société en fin de décadence.....

C'est comme l'arrêt d'un balancier avant son retour.
C'est l'un des rares peuples aborigènes qui n'a pas encore eu beaucoup de contacts avec notre civilisation.
Des français leur montrent un film sur notre monde et leur demandent leur opinion.

http://www.chezmaya.com/pps/leconcivilisation.html

Etonnant


GENIAL.... Bagarre sur ordinateur... SUPERBE !

Vidéos correspondant à animator vs animation

Animator vs Animation2 min - 15 juin 2006Importé par romphyoutube.com

Cliquez simplement ci-dessus,
ensuite cliquer sur "play".

Surtout Ne touchez pas à la souris après ça.
Regardez cette pièce de créativité brillante. On aimerait savoir qui a eu l'idée et le temps de faire ça !
Trop drole ! ! !

Mot de passe
Une femme était en train d'aider son mari à installer son nouvel ordinateur.
Une fois l'installation complétée, elle dit à son mari qu'il doit choisir un mot de passe. Quelque chose qu'il se souviendra car il en aura besoin pour démarrer sa session.
L' homme un peu macho .... voulant passer un message à sa femme, choisit son mot de passe et est impatient de voir sa réaction.
Alors quand l'ordinateur lui demande son mot de passe ... il regarde sa femme d'un air séducteur et tape ...... P... E... N... I... S...
Quand son mari à fait (enter) ....... sa femme s'est mise à se rouler par terre, crampée de rire ........... car l'ordinateur à répondu à son mari ....................
Accès refusé ................ trop court

DUO à maintenant


Une aisance qui dissimule un travail impitoyable vers la perfection à tous niveaux


Je vous conseille de regarder les différentes vidéos suivantes de cette gymnase EXEPTIONNELLE.

mardi 8 février 2011

OPTIMISME


La pire des choses ?


Peut-être bien que NON ?



Il était une fois un village qui avait parmi ses habitants un vieil homme très sage. Les villageois avaient confiance en cet homme pour leur fournir les réponses à leurs questions et soucis.

Un jour, un fermier vint trouver le sage et dit d’un ton alarmé :

« Vieil homme, aide-moi. Une chose horrible vient d’arriver. Mon bœuf est mort et je n’ai plus d’animal pour m’aider à labourer mon champ ! N’est-ce pas la pire chose qui puisse arriver ? »

Le vieil homme sage répondit « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ».

L’homme furieux retourna au village et rapporta à ses voisins que le sage était devenu fou. Bien sûr que c’était la pire chose qui puisse arriver ! Ne pouvait-il comprendre ça !

Le lendemain, cependant un cheval jeune et vigoureux fut aperçu près de la ferme de l’homme. Parce qu’il n’avait plus de bœuf sur lequel compter, il eut l’idée d’attraper le cheval pour remplacer son bœuf et c’est ce qu’il fit. Comme le fermier était heureux ! Labourer le champ n’avait jamais été aussi facile. Il retourna voir le sage pour s’excuser. « Vous aviez raison vieux sage. Perdre mon bœuf n’était pas la pire des choses qui pouvait arriver. C’était une bénédiction cachée ! Je n’aurai jamais capturé mon nouveau cheval si cela ne s’était pas produit. Vous devez admettre cette fois que c’est la meilleure chose qui puisse survenir ».

Le sage répondit une fois encore « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ». Ah, non ! Pas encore se dit le fermier. C’est sûr, le vieux sage était à présent devenu complètement fou.

Mais, de nouveau, l’homme ne savait pas ce qui allait arriver. Quelques jours plus tard, le fis du fermier montait le cheval et fit une chute. Il se cassa la jambe et fut dans l’incapacité de faire la récolte. « Oh, non ! » pensa le fermier, « Maintenant nous allons mourir de faim ». Et de nouveau, le fermier se rendit chez le sage. Cette fois il lui dit « Comment saviez-vous que capturer mon cheval n’était pas la pire des choses qui puisse m’arriver ? Vous aviez encore raison. Mon fils est blessé et se trouve dans l’incapacité de m’aider pour la récolte. Cette fois je suis sûr que c’est la pire des choses qui puisse m’arriver. Et vous devez en convenir cette fois. » Mais tout comme il l’avait fait auparavant, le sage regarda le fermier et, avec compassion, lui répondit : « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ». Enragé que le vieil homme soit si ignorant, le fermier hors de lui retourna au village.

Le jour suivant, des soldats arrivèrent pour enrôler tous les hommes valides pour la guerre qui venait juste d’éclater. Le fils du fermier fut le seul jeune homme dans le village à ne pas partir. Il vivrait alors que les autres mourraient sûrement.

La morale de cette histoire nous fournit une leçon puissante. La vérité est que nous ne savons jamais ce qui va se passer – nous pensons seulement le savoir, nous portons des jugements, nous pensons analyser et nous comparons avec d’autres situations passées qui ne sont probablement pas le reflet du futur. Nous créons nous-mêmes des scénarios dans notre imagination sur les choses terribles qui pourraient arriver et ceux-ci nous mettent dans un état interne qui correspond à ces scénarios. S’ils sont négatifs, nous le deviendrons, s’ils sont positifs et optimistes, nous le serons aussi. La plupart du temps, après coup, nous nous rendons comptes que nous nous sommes fait du souci pour rien et que nous avions tort. Si nous restons calmes, sereins et ouverts à toutes les possibilités, nous pourrons raisonnablement être certains que, éventuellement, tout ira bien. Ne vous créez pas de soucis qui n’existent pas : ils n’existent pas puisque c’est dans l’avenir.

Souvenez-vous : « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ».

Un optimiste voit des opportunités dans les difficultés.Votre serviteur dans l’optimisme et motivateur,Michel POULAERT.

Cette histoire est publié dans le site ci-dessous, dont le titre est tout un programme

Voir aussi

Paris en une seule photo

PARIS : Voici la plus grande photo panoramique au monde.

Pendant 2 ans, deux Français ont réalisé 2346 photos de Paris pour en faire une seule photo panoramique. Le cliché, d'une précision incroyable, ne pèse pas moins de 26 giga pixels.
Pour visionner en plein écran, cliquez sur le carré comprenant 4 flèches.
N'hésitez pas à "zoomer», c'est fabuleux!!!!
Jouez avec les flèches et cliquez sur le "I" pour plus d'infos
http://www.paris-26-gigapixels.com/index-fr.html

Pétra comme si vous y étiez

SACHANT QUE LA PLUS CONNUE RESTE LA N°9.........( voir l'encadré prévu à ces téléchargements plan par plan de1 à 14 )

PUIS JOUER AVEC LA SOURIS OU LES BOUTONS EN BAS à GAUCHE POUR TOUT VISIONNER ET ZOOMER

C'EST COMME LA-BAS DIS ! Tout simplement grandiose !

Bien suivre les explications de la page de garde + en bas et au centre passer les plans de 1 à 14 . Faire pivoter de gauche à droite ou droite à gauche.

http://www.juste-pour-voir.net/20101116Petra/

lundi 7 février 2011

BIEN FAIRE et LAISSER DIRE



ETRE HEUREUX c'est facile !
Avec les bons outils
Mais on peut aussi sans les bons outils
Puis lisez ce texte pour vous donner du courage
Je crois que chacun de nous en tirera une leçon.
Allez-y tout doucement...pour déguster le texte..:
Une fille aveugle se détestait tellement à cause de son handicap. Elle haïssait tout le monde sauf un garçon qui était son ami.
Il était toujours là pour elle.
Un jour, elle lui dit « Si seulement je pouvais voir le monde, je me marierais avec toi. »
Un jour, quelqu'un lui a fait don de ses yeux, un donneur anonyme.
Quand les bandages furent enlevés, elle pouvait tout voir, ainsi que son ami.
Il lui dit, «Maintenant que tu peux voir le monde, veux-tu m'épouser?»
La fille le regarda et vit qu'il était aveugle.
La vue de ses paupières fermées la bouleversa.
Elle ne s'attendait pas à ça. La pensée de le voir ainsi pour le reste de sa vie ne lui plut pas et elle refusa de l'épouser. Son ami la quitta en pleurs.
Quelques jours plus tard, il lui fit parvenir une note qui disait :«Prends bien soin de tes yeux, ma chérie, car avant qu'ils deviennent les tiens, ils étaient miens.»
Moralité ?????
Très peu de personnes se rappellent de leur passé et des amis qui les ont soutenus dans les situations difficiles et douloureuses.
La vie est un Cadeau !
Aujourd'hui, avant de dire un mot cruel Rappelez-vous de ceux qui sont muets.
Avant de vous plaindre du goût de la nourriture Pensez à ceux qui n'ont rien à manger.
Avant de vous plaindre de votre conjoint, de lui faire des infidélités pensez à ceux qui aimeraient tant avoir un compagnon.
Avant de vous plaindre de la vie pensez à ceux qui sont morts trop tôt.
Avant de pleurnicher sur le trajet ou vous devez conduire pensez à ceux qui le font à pied.
Quand vous êtes fatigués et vous plaignez de votre travail pensez à ceux qui cherchent un emploi.
Quand des pensées déprimantes semblent vous abattre, faites un effort pour sourire et dites-vous :
Je suis en vie, donc tout est encore possible.

dimanche 6 février 2011

Un mas dans la campagne Aixoise

Vous allez adorer
Petit lien à visiter sans modération

http://www.e-magdeco.com/2010/09/un-mas-dans-la-campagne-aixoise.html

J'ai trouvé ce lien sur le blog de Clochette et j'ai voulu vous en faire profiter si vous allez dans le Sud.

jeudi 3 février 2011

Détente - Découverte à Rédéné dimanche 6 février


COMME TOUS LES PREMIERS DIMANCHE DE CHAQUE MOIS
« L’ESTRAN REDENE »
VOUS PROPOSE DE RENCONTRER DES ARTISTES DANS SON HAVRE DE PAIX DIMANCHE 6 FEVRIER 2011
BRIGITTE NEUVY ARTISTE PEINTRE MEMBRE DE L’AVA (Association pour la promotion de l’Art Vivant à Pont-Aven)
VOUS RECEVRA DE 15 A 18 HEURES
Par un transfert méditatif, Brigitte Neuvy creuse comme par le feu la matière et l'océan des âges. Sa peinture rejoint la nuit des temps et révèle les fibres charnelles du résidu d'un passé lointain. Ce sont des cendres incandescentes qui nous font entrevoir les grands mouvements de l'univers, et l'artiste, par son action, nous révèle une vision téméraire et intense de son intériorité. Une artiste à découvrir et qui nous incite à comprendre les extrêmes...
Catherine Warnis Artiste-peintre et poète