samedi 1 décembre 2012

Leçons de vie


La vraie richesse



  • À la mort de Gandhi, le monde entier a été saisi d’une très grande leçon d’humilité.
    Quoi de plus impressionnant, en effet, que de voir sur une photo publiée dans presque tous les journaux du globe, les possessions d’un homme mieux connu sur la terre que n’importe quel chef d’état ou star de cinéma.
    Lors de son décès, les biens matériels de Gandhi se limitaient
    à une paire de lunettes, une paire de sandales,
    quelques vêtements sobres, un rouet et un livre.
    Qu’importe, partout sur la planète on apprenait qu’un homme,
    sans doute le plus riche, venait de nous quitter.
    Gandhi nous faisait comprendre
    ce que Henry David avait dit un jour:
    « L’homme n’est riche qu’en proportion
    de ce qu’il peut abandonner. »
    À ce compte, Gandhi était multimillionnaire.

    Depuis 40 ans, ou peut-être davantage,
    nous sommes captivés par le besoin de posséder plus et toujours plus.
    Constamment, nous luttons pour notre confort, notre sécurité matérielle,
    nous convoitons ce que le voisin possède et rêvons au luxe
    que nous renvoient les images de la télévision.

    Dans cette course effrénée de possession, nous oublions l’essentiel.
    Trop pressés, trop fatigués, nous ne voyons plus où se trouve la vraie richesse.
    Elle est à l’intérieur de nous-mêmes, de notre famille,
    elle passe par l’émerveillement de nos enfants, la satisfaction d’avoir réalisé quelque chose d’important, le plaisir de revoir des amis.

    Passez une bonne journée, gardez le sourire!
    Rien ni personne ne peut m’empêcher d’être heureux... ♥

    Source: Isidore Dugas...
    La vraie richesse
 

À la mort de Gandhi, le monde entier a été saisi d’une très grande leçon d’humilité.
Quoi de plus impressionnant, en effet, que de voir sur une photo publiée dans presque tous les journaux du globe, les possessions d’un homme mieux connu sur la terre que n’importe quel chef d’état ou star de cinéma.
Lors de son décès, les biens matériels de Gandhi se limitaient
à une paire de lunettes, une paire de sandales, 
quelques vêtements sobres, un rouet et un livre.
Qu’importe, partout sur la planète on apprenait qu’un homme,
sans doute le plus riche, venait de nous quitter.
Gandhi nous faisait comprendre
ce que Henry David avait dit un jour:
« L’homme n’est riche qu’en proportion
de ce qu’il peut abandonner. »
À ce compte, Gandhi était multimillionnaire.

Depuis 40 ans, ou peut-être davantage,
nous sommes captivés par le besoin de posséder plus et toujours plus.
Constamment, nous luttons pour notre confort, notre sécurité matérielle,
nous convoitons ce que le voisin possède et rêvons au luxe
que nous renvoient les images de la télévision.

Dans cette course effrénée de possession, nous oublions l’essentiel.
Trop pressés, trop fatigués, nous ne voyons plus où se trouve la vraie richesse.
Elle est à l’intérieur de nous-mêmes, de notre famille,
elle passe par l’émerveillement de nos enfants, la satisfaction d’avoir réalisé quelque chose d’important, le plaisir de revoir des amis.

Passez une bonne journée, gardez le sourire!
Rien ni personne ne peut m’empêcher d’être heureux... <3 



Source: Isidore Dugas...

  • Chaque geste de notre vie peut devenir bonheur ♥
    L’avez-vous déjà remarqué, nous sommes toujours en attente du résultat d’un acte, d’un évènement, projetés vers l’avenir, les yeux rivés sur l’aboutissement, sur l’arrivée, en attente d’autre chose, de quelqu’un d’autre, de mieux, d’ailleurs… J’escalade la montagne en ne songeant qu’à ce que je verrai du sommet.

    Je me dépêche de lire le livre pour en savoir plus, pour connaître la suite, toujours la suite, toujours plus avant. Je pose la question : « Comment est-ce que ça se termine ? »

    J’attends le train, je ne vis pas. Je suis tendue vers l’arrivée du train, le cou tendu vers le tournant où il va apparaître. « Il arrive ? Il arrive ? » Et bien sûr, une fois dans le train, je n’ai qu’une hâte : arriver !

    Au travail, j’attends la pause, la fin de la journée, le week-end, les vacances, la retraite… « Quand j’aurai rencontré l’âme-soeur… », « Quand les enfants seront grands », « Ah, si j’étais libre », « Quand j’aurai de l’argent », « Quand j’aurai déménagé », « Quand j’habiterai à la campagne », « Quand j’aurai le temps… », ou alors, c’est « Ah, si j’avais su… », « Avant c’était mieux ! », « Ah, quand il/elle était là ! ».

    Et finalement, je ne vis pas et les années passent. Le compte à rebours a commencé et je ne savoure toujours pas la vie précieuse qui m’est offerte à chaque seconde, la douceur de l’air dans mes poumons, sur mon visage, les yeux de l’inconnu(e) qui me croise, la colline si vivante devant moi, la danse des nuages, un après-midi de repos, la chaleur de ma couverture, un toit sur ma tête, les clins d’oeil du soleil…

    Hier en faisant le ménage, j’ai pris conscience pour la première fois que j’aimais faire le ménage ! Et chaque acte est devenu un véritable plaisir : laver les vitres, jeter de vieux journaux, de vieux livres, faire le vide… Chaque geste de notre vie est/peut/va devenir bonheur, chaque instant, chaque seconde (ou presque !), ne serait-ce que respirer… ♥

    Alex,…………….. ♥
    Chaque geste de notre vie peut devenir bonheur <3
L’avez-vous déjà remarqué, nous sommes toujours en attente du résultat d’un acte, d’un évènement, projetés vers l’avenir, les yeux rivés sur l’aboutissement, sur l’arrivée, en attente d’autre chose, de quelqu’un d’autre, de mieux, d’ailleurs… J’escalade la montagne en ne songeant qu’à ce que je verrai du sommet.

Je me dépêche de lire le livre pour en savoir plus, pour connaître la suite, toujours la suite, toujours plus avant. Je pose la question : « Comment est-ce que ça se termine ? »

J’attends le train, je ne vis pas. Je suis tendue vers l’arrivée du train, le cou tendu vers le tournant où il va apparaître. « Il arrive ? Il arrive ? » Et bien sûr, une fois dans le train, je n’ai qu’une hâte : arriver !

Au travail, j’attends la pause, la fin de la journée, le week-end, les vacances, la retraite… « Quand j’aurai rencontré l’âme-soeur… », « Quand les enfants seront grands », « Ah, si j’étais libre », « Quand j’aurai de l’argent », « Quand j’aurai déménagé », « Quand j’habiterai à la campagne », « Quand j’aurai le temps… », ou alors, c’est « Ah, si j’avais su… », « Avant c’était mieux ! », « Ah, quand il/elle était là ! ».

Et finalement, je ne vis pas et les années passent. Le compte à rebours a commencé et je ne savoure toujours pas la vie précieuse qui m’est offerte à chaque seconde, la douceur de l’air dans mes poumons, sur mon visage, les yeux de l’inconnu(e) qui me croise, la colline si vivante devant moi, la danse des nuages, un après-midi de repos, la chaleur de ma couverture, un toit sur ma tête, les clins d’oeil du soleil…

Hier en faisant le ménage, j’ai pris conscience pour la première fois que j’aimais faire le ménage ! Et chaque acte est devenu un véritable plaisir : laver les vitres, jeter de vieux journaux, de vieux livres, faire le vide… Chaque geste de notre vie est/peut/va devenir bonheur, chaque instant, chaque seconde (ou presque !), ne serait-ce que respirer… <3

Alex,…………….. <3


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