vendredi 19 octobre 2012

Les vaccins et vous

 

Vaccins, nouvelles mai 2012

vaccins
Fort heureusement, les ventes du Gardasil ont grimpé de 33 % à 284 millions de dollars.
Enfants autistes :
« N’oublions pas les 9 enfants sur 1000 autistes aux Etats Unis, contre 0 autiste chez les amish, qui refusent toute vaccination de leurs enfants; mais que des représentants de l’administration visitent régulièrement à domicile pour les convaincre de faire vacciner leurs enfants; des amish sans enfants autistes sont aussi gênants pour le lobby de la vaccination qu’un Saddam Hussein ou un Kadhafi, développant bien leur pays, sont gênant pour le lobby mondial des démocrates ».
LABORATOIRE MERCK (Sylvie SIMON)
Certains d’entre nous pensaient que le laboratoire Merck avait du plomb dans l’aile après le scandale du Vioxx, médicament anti-inflammatoire largement utilisé contre l’arthrite entre 1999 et 2004, qui a provoqué 160 000 crises cardiaques et attaques cérébrales et serait à l’origine d’au moins 30 000 décès, aux Etats-Unis. Il faut savoir qu’en France, nous avons été protégés de la même manière que nous l’avons été du nuage de Tchernobyl, chez nous il n’y a quasiment pas d’accidents.
Toutefois, le laboratoire a dû payer plus de 5 milliards de dollars de dommages aux milliers de plaignants sans pour autant reconnaître sa culpabilité. En outre, certains plaignants ont refusé de négocier, et les procès se succèdent depuis 2007.
Or, Merck a publié ces jours-ci des bilans trimestriels légèrement supérieurs aux attentes, bien que certains médicaments n’aient pas obtenu les résultats espérés face à la concurrence des génériques. Les ventes ont grimpé en moyenne de 7 à 8 %, ce qui ne leur suffit évidemment pas. Fort heureusement, les ventes du Gardasil ont grimpé de 33 % à 284 millions de dollars, grâce à l’introduction du médicament au Japon et à une augmentation des vaccinations chez les hommes âgés de 9 à 26 ans. Il est donc certain que, malgré les très nombreuses victimes, cobayes de ce vaccin expérimental à travers le monde, il ne court aucun risque d’être retiré du marché. Bien au contraire, nous allons voir fleurir de tous côtés des publicités pour que les garçons se fassent vacciner en masse. A eux, et surtout à leurs parents, de réfléchir et de voir s’ils désirent, au prix de leur santé, renflouer les caisses déjà pleines du laboratoire Merck.
Le Dr Wakefield est enfin blanchi par un tribunal
En France, nous persistons à raconter impunément n’importe quel mensonge sur le Dr Andrew Wakefield qui a eu l’impudence de faire baisser l’incidence du vaccin ROR au Royaume Uni et donc de coûter très cher au laboratoire Glaxo SmithKline. Il est certain que ces dégâts devaient être sanctionnés et le Dr Wakefield a servi de bouc émissaire dans l’affaire, alors que d’autres chercheurs avaient, de leur côté, obtenu des résultats identiques concernant l’autisme régressif, mais sans bénéficier d’une publicité aussi gênante pour l’industrie.
Et, depuis près de 14 ans, on diffuse les mêmes mensonges en se contentant de répéter comme des perroquets les affirmations de médias qui se reprennent à tour de rôle, sans jamais vérifier la validité de leurs affirmations ou se poser des questions sur un médecin intègre, qui a été renvoyé de son hôpital comme un voleur, qui a perdu son travail et sa réputation et a été obligé de s’exiler. En termes clairs, cela s’appelle de la diffamation.
Pour rappeler brièvement l’affaire à ceux qui l’ont oubliée ou jamais connue, en 1998 le Lancet a publié les cas de 12 enfants qui ont été soignés au Royal Free Hospital de Londres pour des problèmes intestinaux. L’étude évoquait alors une possible association entre ces problèmes, des retards du développement, dont certains cas d’autisme, et le virus vaccinal de la rougeole découvert dans leurs intestins. Les médecins avaient relevé que chez 8 de ces enfants, les problèmes gastro-intestinaux et les symptômes d’autisme avaient débuté peu après la vaccination par le ROR.
Les 13 co-auteurs de cette parution dans le Lancet étaient tous membres du groupe d’étude du Royal Free Hospital sur les maladies inflammatoires des intestins. En 2004, sous la pression des instances de santé britanniques, 10 des auteurs ont signé une lettre de rétractation de la publication qui aurait prouvé que le vaccin était responsable de l’autisme, ce qui n’a jamais été dit de manière catégorique. Ensuite, John Walker-Smith, gastroentérologue et pédiatre mondialement connu, Andrew Wakefield et Simon Murch ont été accusés de fraude médicale par le GMC (ordre des médecins) et les poursuites ont provoqué la radiation de l’Ordre de Walker-Smith et Wakefield, alors que le Dr Murch conservait son statut de médecin. Wakefield a alors été diabolisé par les médias, les laboratoires et nombre de béotiens ravis de rapporter des scandales profitant à l’industrie plutôt que d’investiguer les implications de l’histoire.
Pour la résumer : En juillet 2003, le propriétaire du Lancet, Crispin Davis devient le directeur non-exécutif de Glaxo SmithKline, fabricant du ROR.
Le 27 février 2004, son frère, le juge Davis qui se cache bien de signaler sa parenté, retire l’assistance judiciaire des plaignants, alors que sous de fallacieuses raisons, le Lancet rejette la publication d’Andrew Wakefield, qui est traîné dans la boue par la BBC et le Sunday Times.
En juillet 2004, Crispin Davis, frère du juge, est anobli par le gouvernement de Tony Blair.
Quant à James Murdoch, fils du multimilliardaire Rupert Murdoch, qui possède un véritable empire médiatique d’ampleur mondiale dont The Sunday Times, et qui a récemment été impliqué dans un immense scandale, il a été engagé par Sir Crispin Davis pour rejoindre le groupe GlaxoSmithKline. Cet exemple est très typique de l’enchaînement des liens d’intérêt et de faits graves constatés dans la controverse sur l’autisme et les vaccins et dont les Français n’ont pas connaissance.
Mais il existe parfois, heureusement, une justice sur terre. Le 7 mars 2012, le Pr John Walker-Smith a gagné son procès en appel contre l’Ordre des médecins du Royaume Uni qui l’avait injustement accusé et même diffamé ainsi que le Dr Andrew Wakefield, pour le rôle qu’a joué leur publication dans le Lancet en 1998.
Ce verdict succède à 217 jours de délibération, et représente le plus long cas de procès au cours des 152 années d’existence du GMC.
Le verdict lave le nom de Walker-Smith de tout soupçon. Cette conclusion est parfaitement normale puisque l’accusation n’avait aucun plaignant, qu’aucun mal n’avait été causé aux enfants, que les parents ont toujours soutenu le deux médecins durant leur procès, rapportant au contraire les bienfaits que leur avait procuré les soins au Royal Free Hospital.
Tandis que John Walker-Smith avait reçu des dons pour faire appel de la décision de l’Ordre des médecins, son co-auteur Andrew Wakefield, exilé aux états-Unis, ne pouvait en faire autant car il n’avait pas les moyens d’aller en appel devant la Haute Cour. Toutefois, ce jugement décharge entièrement le Dr Wakefield de son accusation de mauvaise conduite et cette année le Dr Wakefield, qui continue ses recherches aux états-Unis, poursuit en diffamation le pseudo journaliste Brian Deer, le Dr Fiona Godlee et le British Medical Journal pour l’avoir faussement accusé de « fraude » et avoir multiplié leurs attaques haineuses afin de détruire sa carrière et sa vie. Comme nous l’avons déjà annoncé, le procès va avoir lieu au Texas où vit actuellement Wakefield. La décision du tribunal au sujet de son collègue augure bien de la plainte contre Deer, sur laquelle étaient fondées toutes les accusations du GMC.
Le procès que va intenter à présent Wakefield aux états-Unis devrait, lui aussi, confirmer la vérité. Le monde entier saura que l’industrie du vaccin a menti sciemment en publiant des calomnies sur le Dr Wakefield, avec la complicité de Brian Deer qui a effectué de nombreux voyages à l’étranger et plusieurs apparitions dans des émissions télévisées, où il a traité ce médecin irréprochable de « menteur invétéré » et a caché tous les liens d’intérêts qui unissaient les complices.
Et la vérité sera d’autant plus douloureuse pour les accusateurs que dans le Sunday Daily Mail du 2 février 2011, la journaliste Sally Beck nous informait que de nouvelles recherches américaines confirment les découvertes du Dr Andrew Wakefield et démontrent qu’il pourrait y avoir un lien entre le vaccin ROR et l’autisme régressif.
à présent, une équipe de l’École de Médecine de l’Université de Wake Forest en Caroline du Nord est en train d’examiner 275 enfants atteints d’autisme régressif et de maladies intestinales. Sur les 82 enfants qui ont déjà été examinés et testés, 70 s’avèrent positifs pour le virus de la rougeole. Le directeur de l’équipe de recherche, le Dr Stephen Walker a déclaré : « D’après les résultats que nous avons obtenus jusqu’ici, il s’avère que toutes les souches sont des souches vaccinales ; aucune souche ne concerne le virus sauvage de la rougeole. »
Cette recherche prouve que c’est bien le virus vaccinal de la rougeole qui a été découvert dans le tractus gastro-intestinal d’un nombre d’enfants qui ont reçu le diagnostic d’autisme régressif. Ainsi, l’étude publiée en 1998 par le Dr Wakefield est incontestable.
Au Danemark, comme le signale le Journal of American Physicians and Surgeons de septembre 2004, on a observé un nombre significatif de diagnostics d’autisme associés à l’introduction de ROR. Et à l’heure actuelle, les travaux du Dr Wakefield ont aussi été corroborés par de nombreux chercheurs indépendants au Japon, en Irlande et dans d’autres pays, mettant en évidence les liens entre ce vaccin et les accidents qui lui ont succédé.
Toutefois, le ministère de la Santé du Royaume-Uni, tout comme le ministère de la Santé français, s’entêtent à répéter la même rengaine : « Le ROR demeure la meilleure forme de protection contre la rougeole, les oreillons et la rubéole », leitmotiv repris en chœur par tout le monde.
Il a rarement existé autant de mensonges au sujet des vaccins que dans le « cas Wakefield », peu connu des Français qui n’ont pour références que les affirmations des laboratoires fabricants de vaccins, et je suis surprise que ces derniers trouvent encore autant de défenseurs alors que le monde entier a été témoin de leurs agissements lors de la « pandémie de l’indécence », comme l’a si bien nommée le Pr Gentillini.
Si le Dr Andrew Wakefield a rencontré autant de problèmes, c’est parce qu’il a osé défier la mafia médicale, aidé en cela par des centaines de parents d’autistes, et que son avis avait trop de poids à l’encontre de l’industrie.
Ce verdict du GMC a donc plébiscité un menteur effronté pour lequel tout moyen de pression a été bon, même le plus malhonnête, au détriment de milliers de familles d’enfants autistes qui se battent depuis des années, avec de très faibles moyens, contre « Big Pharma » cette industrie souvent criminelle qui s’en tire toujours grâce à de considérables moyens financiers.
Quant à ceux qui prétendent que le vaccin est sorti blanchi de cette affaire, ils ignorent également ou font semblant d’ignorer que bien d’autres chercheurs ont pu établir un lien entre le ROR et l’autisme. C’est ce qui se passe en France, où nos instances de santé et nombre de médecins persistent à affirmer que certaines accusations portées contre le ROR n’étaient basées que sur des manipulations de données et des mensonges et que le « coupable » a été puni et condamné. Or ce sont les accusateurs de Wakefield qui sont des menteurs, la plupart par manque d’information, mais il reste inadmissible que certains médecins soient aussi ignorants et ne cherchent pas à découvrir des vérités savamment cachées par des pouvoirs corrompus et s’en fassent les complices. La vérité est sortie du puits, attendons qu’elle se répandre pour voir comment réagissent les complices de ce scandale. Espérons que les auteurs seront très sévèrement condamnés.
Cela est d’autant plus urgent que le CDC devrait annoncer prochainement que la prévalence de l’autisme est passée à 1 sur 88, avec une incidence quatre fois supérieure chez les garçons, où elle correspond à 1 sur 48. N’oublions pas que l’autisme était pratiquement inconnu en 1930, et touchait seulement 1 enfant sur 10 000 en 1960.
Ginger Taylor, reprend les questions que se posent depuis des années les parents d’enfants autistes : « Comment se fait-il que nous soyons passé de 1 sur 10 000 enfants nés il y a 50 ans, à 1 sur 88 de nos jours ? Pourquoi les CDC refusent-ils de considérer cette avalanche d’autisme comme une urgence de santé publique ? Alors que des douzaines de publications et de très nombreux congrès ont prouvé que les causes premières de l’autisme sont environnementales et comprennent les vaccins et leurs substances, pourquoi les CDC ne signalent-ils pas aux parents les risques que courent leurs enfants ? » Et Ginger Taylor s’insurge contre les laboratoires qui sont protégés des litiges avec les victimes depuis que l’autisme a explosé. Quant à Lisa Goes, de la même association, elle estime que « Le programme vaccinal – jamais testé dans son principe — est une immense expérience non contrôlée sur une génération d’enfants ».
Il est ainsi certain que le prochain procès intenté par le Dr Wakefield sera difficile à escamoter s’il est gagné et qu’alors, commenceront de nombreux autres procès contre ce scandale, l’un des plus révoltants de la médecine actuelle.
Sylvie Simon
Haro sur la Polio
Jusqu’au 26 mars 2012, les ministères de la santé, les agences onusiennes et les communautés locales se sont unis pour mener une campagne de vaccination contre la polio dans 20 pays africains. Pour réussir cette opération de très grande envergure, 400 000 vaccinateurs bénévoles sont allés de porte-à-porte et de case en case, afin de vacciner plus de 85 millions d’enfants âgés de moins de cinq ans, quel que soit leur statut antérieur de vaccination. Une deuxième prise de vaccin est prévue dans les mêmes pays le 24 avril prochain. Dans l’intervalle, six pays africains où des cas ont été signalés devraient recevoir des doses supplémentaires.
Le Directeur Régional de l’OMS pour l’Afrique, le Dr Luis Sambo, a expliqué que : « la prochaine campagne en Afrique de l’Ouest et du Centre aura pour objectif de couvrir tous les enfants, vaccinés ou non, afin de stimuler leurs niveaux de protection et de priver le virus du terreau fertile dont il dépend pour sa survie », objectif qui consiste à interrompre la transmission du polio virus sauvage dans ces régions en 2012. « Soit nous réussissons à éradiquer la polio aujourd’hui, soit cette initiative va fléchir demain et la polio va exploser. Nous verrons alors à nouveau des millions d’enfants paralysés par cette maladie », a déclaré David Gressly, Directeur régional de l’Unicef pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre.
Ambroise Tshimbalanga Kasongo, Président du Comité africain PolioPlus du Rotary International, a appelé les autres donateurs à maintenir le cap en comblant les 405 millions de dollars américains de déficit de financement actuel pour 2012.
« Cette année, les progrès en Inde ont démontré ce qui est possible lorsque nous nous concentrons sur la tâche à accomplir. […] En Afrique, la fin de la polio est en vue, mais nous avons encore du pain sur la planche. » C’est le leitmotiv que nous entendons depuis des lustres. Chaque année, on nous promet l’éradication de la maladie pour l’année suivante. Depuis 2006, la RDC (République Démocratique du Congo) rapporte chaque année de nouveaux cas de poliomyélite. En 2010, le poliovirus sauvage était signalé dans la ville de Kalemie sur un cas isolé, chez un enfant souffrant d’une paralysie flasque aiguë. Des cas d’enfants paralysés auraient également été recensés à la frontière avec l’Angola.
D’après les pouvoirs publics, pour réduire les risques et les conséquences de l’importation du poliovirus la couverture de vaccination par voie orale doit être maintenue à plus de 90 % pendant un certain nombre d’années. Toutefois, une évaluation réalisée par l’OMS en février 2012 montre les lacunes des vaccinations de routine dans la plupart des pays ouest-africains, dont cinq seulement ont atteint ou maintenu plus de 90 % de couverture depuis 2008. C’est pourquoi, selon l’OMS, ces campagnes de vaccination à venir sont si importantes pour renforcer les niveaux d’immunité de la population. Le GPEI (Initiative Globale d’Éradication de la Polio) est menée par les gouvernements nationaux, l’OMS, le Rotary International, les CDC (Centres américains pour le contrôle des maladies) et l’Unicef, avec le soutien de la Fondation Bill & Melinda Gates.
La poliomyélite touche principalement les enfants de moins de cinq ans et une infection sur 200 entraîne une paralysie, généralement des jambes. Parmi les enfants paralysés, 5 à 10 % meurent par suite de la paralysie de leurs muscles respiratoires. Or, selon le mathématicien Bernard Guennebaud, pour éradiquer la maladie il faudrait arrêter toute circulation de poliovirus même non paralytiques car ils pourraient le devenir plus tard en se recombinant avec d’autres entérovirus pour redevenir virulents et, sans un niveau d’assainissement suffisant, ce sera sans doute impossible. L’absence de polio paralytique ne pourra jamais permettre d’affirmer que la polio a été éradiquée. « Le poliovirus d’origine vaccinale de type 2 circule toujours et provoque des paralysies alors que le type 2 sauvage n’a pas été observé depuis octobre 1999. Plus on introduira de virus polio vaccinaux dans les intestins des enfants, plus il y aura de chances que certains puissent se maintenir en trouvant des opportunités pour  circuler. Pour “priver le virus du terreau fertile” il faudra l’assainissement, très probablement. »
Confirmant ces propos, dans son ouvrage Phobie des microbes et manie vaccinale, le Dr Yves Couzigou fait remarquer que « les vaccinés, loin de constituer un barrage protecteur vis-à-vis des non-vaccinés, sont au contraire dangereux et peuvent contaminer le reste de la population, puisqu’il est prouvé qu’ils peuvent être porteurs et transmetteurs de virus poliomyélitiques par voie intestinale et peut-être par d’autres voies. »
Depuis plus de vingt ans, les pays « développés » envoient des vaccins dans les pays pauvres, où les enfants meurent de faim et de manque d’hygiène, au lieu de les aider à avoir des adductions d’eau propre ou de la nourriture. Les campagnes de vaccination servent trop souvent à des fins politiques, économiques ou militaires, et trop souvent aussi les populations sont considérées comme des cobayes. Déjà, le 20 janvier 1996, le journal Le Point signalait qu’en Inde 80 millions d’enfants avaient été vaccinés contre la polio en deux jours par le vaccin oral. Cette campagne massive qui a nécessité 500’000 postes de vaccination, 2 millions d’agents et 10 millions de volontaires a été menée comme une opération militaire contre de dangereux terroristes, toujours pour le bien des populations.
Un point majeur jamais évoqué par les grands médias
L’Inde, prise en exemple pour promouvoir la vaccination en Afrique, vient de rapporter en 2012 son premier cas de VDPV (vaccine derived polio virus). Bien que cette découverte ne remette pas en question son statut de pays exempt de polio car seules les infections causées par la souche du virus sauvage P1 ou P3 sont comptabilisées, d’après les experts, le virus vaccinal peut muter vers une forme paralytique et concerne, chaque année, 100 à 180 enfants indiens. Ainsi, après avoir été excrété par les enfants vaccinés, le virus du vaccin oral a regagné sa neurovirulence et circule dans l’environnement avec la capacité de répandre la maladie. Et ce constat est d’autant plus inquiétant que le VDPV est 3 ou 4 fois plus fréquent que le virus sauvage. étant donné que la polio se propage par la voie fécale dans des pays pauvres et privés d’hygiène, se concentrer sur le système sanitaire et la nutrition serait bien plus sage que fournir des vaccins à des gens qui n’ont pas de quoi se nourrir convenablement, mènent une vie précaire dans un contexte sociopolitique incertain, et cette nouvelle épidémie de VDPV démontre magistralement que le remède est pire que le mal. Cette maladie est cliniquement indifférenciable de la polio paralysante mais deux fois plus mortelle. Comme le signale justement One Click : « Les enfants sont paralysés par le vaccin qui est censé les protéger en Inde et partout ailleurs. C’est l’un des plus grands scandales de ces dix dernières années et il s’étend sans cesse. »
Les experts chargés du contrôle de la polio sont très inquiets car il y a eu dans divers pays, entre juillet 2009 et mars 2011, 430 cas de VDPV et aussi longtemps qu’on persistera à répandre le virus sauvage atténué mais vivant, les enfants fragiles seront des sujets à risques, comme l’expliquent deux experts des CDC : Stephen Cochi and Robert Linkins dans le Journal of Infectious Diseases. On persiste à utiliser le vaccin oral à virus vivant sous le prétexte que le vaccin inactivé est beaucoup plus cher, 3 dollars la dose, et plus difficile à administrer que le vaccin oral qui ne coûte que 0,15 dollar la dose.
Il y a des années que les états-Unis ont renoncé à administrer ce vaccin au profit du vaccin inactivé, alors que le vaccin oral atténué est le seul utilisé à travers la planète pour les vaccinations de masse.
Le journal médical américain Jama, a expliqué qu’entre les année 1988 et 1993, il n’existait pas de rapport proportionnel entre la couverture vaccinale et le nombre de cas déclarés de poliomyélites, constat basé sur les chiffres fournis par l’OMS pendant ce laps de temps. à cette époque, dans les pays de Méditerranée orientale, foyer endémique de cette maladie, la couverture vaccinale était passée de 69 à 75 %, ce qui n’a pas empêché la maladie de passer de 2 332 cas à 2 451 cas. Panorama du Médecin (n° 4165-1995) demandait déjà si, en l’an 2000, les médecins accepteraient toujours de vacciner contre la poliomyélite au prix de « quelques paralysies iatrogènes ». Il est important de savoir que les paralysies post-vaccinales, dites « à forme poliomyélitique » ne sont pas déclarées comme de véritables poliomyélites.
Entre 1996 et 2009, 608 832 cas d’AFP (paralysie flasque aiguë) ont été enregistrés à travers le monde et, pendant la même période, il y a eu 39 131 cas de polio identifiés.
En Inde, les cas de polio sont passés de 24 257 en 1988 à 4 793 cas en 1994 bien avant le programme d’éradication et tous les cas de AFP furent diagnostiqués comme polio au-delà de 60 jours. En 2005, il y a eu 10 055 d’AFP « non polio » dans l’état de l’Uttar Pradesh, et le PRoH (Public Report on Health) qui étudia soigneusement le problème s’aperçut que la plupart des cas n’avaient pas été suivis. Sur les 10 264 cas, 209 étaient des cas de polio ou compatibles avec la polio et sur les cas restants, seulement 2 553 furent suivis. Parmi eux, 898 auraient été qualifiés de polio selon l’ancienne définition, et 217 en décédèrent. Si l’on extrapole ces cas à ceux qui n’ont pas été suivis, on constate qu’environ 4 800 cas aurait souffert de paralysie ou seraient morts de l’AFP non polio cette année-là. Et si l’on compare ces cas aux 4 793 cas de polio en Inde en 1994, on comprend que l’Institut de surveillance de la polio en Inde n’ait pas eu intérêt à suivre ces cas. Chaque année, les cas de paralysie flasque aiguë augmentent en Inde, et d’après l’OMS, il y aurait eu, en 2009, un total de 50 416 cas dont 752 seulement étaient dus à la polio.
à présent, les docteurs Neetu Vashisht et Jacob Puliyel, du service de Pédiatrie à l’hôpital St Stephens de Delhi, confirment ces constats ignorés du grand public et déclarent à leur tour dans le Indian Journal of Medical Ethics du mois d’avril 2012 que le « bénéfice financier promis depuis longtemps au pays en éradiquant le poliovirus n’arrivera jamais. », car ces médecins savent bien que cette éradication est impossible.
L’OMS affirme que 5 millions d’enfants ont été épargnés de la paralysie et il est instructif d’apprendre d’où ils tirent de tels chiffres. Selon le Dr Jacob Puliyel, en 1988, il y a eu 32 419 cas de poliomyélites paralytiques. De façon arbitraire, l’OMS a augmenté dix fois ce chiffre sous le prétexte de sous-déclarations, annonçant ainsi 350 000 cas. En 2004, avec le changement de définition, seules les cultures de paralysies positives au virus furent considérées comme des polios et il en resta donc 2 000. Si l’on enlève ces 2 000 cas des 350 000 déclarés, il reste donc 348 000 enfants sauvés de la paralysie cette année-là. Voilà comment on manipule les statistiques.
Un autre fait fondamental dans l’histoire de la vaccination antipoliomyélitique est celui qui résulte d’une étude réalisée en Allemagne de l’Ouest en 1962, révélée par un article du Concours médical du 20 septembre 1969, mais toujours d’actualité. Les chercheurs ont constaté une modification très significative des populations d’entérovirus, hôtes habituels de l’intestin après cette vaccination. La quantité de poliovirus diminuait de 78 % alors que les virus Echo et Coxsachie augmentaient de 455 %. On constate donc qu’une vaccination peut déclencher un énorme accroissement de virus normalement saprophytes qui détrônent ainsi d’autres types viraux. Ce déséquilibre écologique se traduit en outre par une modification dans le comportement des virus inoffensifs qui peuvent devenir pathogènes. Pourquoi alors perturber la symbiose qui s’est établie entre l’hôte et le virus ? D’autant que 95 % des gens sont naturellement immunisés contre la polio en dehors de toute vaccination, comme l’affirme le Dr Morton Klein de Philadelphie.
Les auteurs ont noté qu’en 2011, tandis que l’OMS clamait l’éradicationde la polio en Inde, il existait dans ce pays 47 500 cas de NPAFP et que leur nombre augmentait en proportion des doses de vaccin anti-polio reçues. De la même manière, les cas de VAPP (vaccine-associated polio paralysis), état dans lequel les symptômes paralytiques sont identiques à ceux causés par le virus sauvage de la polio, augmentent après l’administration du vaccin anti-polio. Non seulement les symptômes de paralysie associés aux NPAFP et aux VAPP sont pires que ceux générés par le virus sauvage, mais ils peuvent également accompager d’autres effets négatifs comprenant des dommages neurologiques.
Nous ne pouvons qu’approuver fortement ces propos, mais pourvoir ces pays d’hygiène et d’eau potable ne rapporte pas d’argent aux grandes entreprises pharmaceutiques et n’intéresse ni Bill Gates, ni l’Unicef, ni l’OMS, qui a montré ses liens avec l’industrie et ses capacités de cacher la vérité en toute impunité au cours de la désastreuse campagne contre le virus H1N1. Comment peut-on encore lui faire confiance et accorder le moindre crédit aux fabricants de vaccins qui se sont garantis de l’impunité en cas d’accidents ?
Et lorsque nous aurons plus ou moins remplacé la polio par des maladies iatrogènes aussi graves, plus mortelles, et plus fréquentes, que feront l’OMS, Bill Gates & co ? Car il n’y aura pas évidemment de vaccins contre ces maladies.
Sylvie Simon
Sources :
Dr Jacob Puliyel – 09868035091 – puliyel@gmail.com
Indian Journal of Medical Ethics Vol IX no 2 April – June 2012
-VACCINS
Vous avez dit VACCIN ? :
En plus clair vous voulez dire ce produit composé de formaldéhyde, très toxique, d’aluminium, suspecté d’être l’un des facteurs déclenchant la sénilité mentale , de thimerosal, composé de 49 % de mercure (normalement retiré depuis 1990), de quatre variétés d’antibiotiques, de cellules humaines, de – tissus fœtaux de quatre animaux, sans compter l’éventualité de la présence de squalène ,naturellement présent chez les animaux et l’humain mais surdosé dans les vaccins et qui présente des risques énormes pour la santé, d’acide chlorhydrique, de bromure, de cétrimonium qui dérègle l’activité bioélectrique, d’hydroxyde de sodium , de nonoxinol, quidétruit les spermatozoïdes et engendre la stérilité, d’octoxinol qui a les mêmes propriétés , de phénol ,qui est cancérigène, de phénoxyéthanol et d’éther de glycol similaires à l’antigel pour moteurs thermiques, de Titriplex III qui est aussi un antigel.
(Ingredients in Vaccinations CDC’s list of ingredients by vaccine:http://www.cdc.gov/vaccines/pubs/)
Jeudi 12 avril 2012
Vaccins : les nouvelles recommandations aberrantes du HCSP
Le Haut Conseil de Santé Publique (HCS, Belgique)vient de rendre ses recommandations vaccinales 2012. Décryptage de recommandations qui s’enfoncent encore un petit peu plus dans l’absurde.
A) Vaccination des femmes enceintes: le H1N1 ayant servi de prétexte, la vaccination saisonnière leur est désormais recommandée à tout moment de la grossesse. Au nom de leur protection et de celle de l’enfant, bien entendu.
Il s’agit cependant d’une grosse aberration à la lueur:
- du principe général de précaution pour TOUT MEDICAMENT NON INDISPENSABLE chez cette population particulière
- des risques particuliers d’une telle vaccination, propres à l’état de grossesse et évoqués par plusieurs spécialistes.
La vaccination des femmes enceintes au cours de la fausse pandémie de 2009 était donc une gigantesque expérimentation et du même coup, une occasion rêvée pour les fabricants de pouvoir étendre leurs marchés au cours des années futures.
Le Pr Daniel Floret n’a cependant pas manqué d’humour en écrivant notamment dans l’éditorial du Bulletin Epidémiologique hebdomadaire du 10 avril 2012 que: « De par le monde, un nombre significatif de femmes enceintes a été vacciné contre la grippe durant la pandémie, sans dommage démontré ni pour la mère ni pour le foetus. » Etrangement, il a dû omettre cette hausse très inquiétante de 700% des fausses couches chez les femmes enceintes américaines tout en sachant qu’elles « bénéficiaient » pourtant d’un vaccin sans adjuvant!
B) Vaccination des enfants contre la grippe avec le Fluenz (vaccin en spray)
Une vaccination préconisée aux enfants à risque  de 2 à 17 ans soit ceux présentant des problèmes cardiaques, neurologiques ou immunitaires.
Une autre aberration donc tant pour la collectivité que pour ces enfants déjà affaiblis qui encourront un sur-risque d’hospitalisation en-déans les 6 mois qui suivent cette vaccination (tout de même!!)
C) Vaccination dès la maternité pour tous les enfants de Guyane et de Mayotte contre l’hépatite B et la tuberculose.
Il s’agit là aussi d’une aberration abyssale puisque le système immunitaire des enfants n’est pas pleinement mature avant 6 à 7 ans d’âge d’une part et que, d’autre part, il a déjà été scientifiquement prouvé que le fait de retarder les premières vaccinations diminuait déjà de façon significative le risque d’asthme (démontrant ainsi que l’agression vaccinale sur un système immunitaire encore immature est d’autant plus lourde de conséquences qu’elle est précoce).
En outre, il faut aussi rappeler le caractère scandaleux d’une telle recommandation aveugle (sans même la réalisation au préalable d’un test HBs chez la mère) alors que la vaccination anti-hépatite B entraîne un sur-risque de sclérose en plaques significatif chez l’enfant aussi et que le prétexte des officiels du jeune âge des vaccinés comme prétendue protection des risques démyélinisants, ne tient tout simplement pas.
Quant à la vaccination anti-tuberculeuse, à part la liquidation des stocks, on peine à imaginer une autre raison davantage valable dès lors qu’une vaccination inefficace pendant plus de 50 ans en métropole (et ayant même entravé et freiné la lutte contre la tuberculose selon l’avis de différents spécialistes) peut difficilement s’avérer efficace là-bas comme par enchantement!
D) Conseils de vaccinations tous azimuts des ados et adultes contre la coqueluche, la rougeole et… la varicelle!
Ce n’est pas assez disent-ils et on peut d’ores et déjà le prédire: ça ne sera jamais assez, l’important étant vraiment de fourrer des vaccins et à la limite, peu importe lesquels. La devise pouvant en fait se résumer à ceci: « trois vaccins, c’est toujours mieux que deux; deux vaccins, c’est toujours mieux qu’un et surtout, surtout…. il faut au moins un vaccin, AU MOINS UN!!! »
C’est ce qui transparaît très clairement dans l’éditorial du BEH du 10 avril lorsqu’il est avoué au sujet des obèses morbides: « Les données d’efficacité de la vaccination des personnes obèses sont beaucoup moins robustes, faute d’étude spécifique.Pour cette raison, la recommandation vaccinale a été limitée aux personnes atteintes d’une obésité morbide (IMC sup. à 40 kg/m2).  » On n’a donc aucune preuve que cela fonctionne vraiment mais soit, on va quand même la recommander chez les obèses morbides! Allez hop, encore une autre part juteuse de marché trouvée aux fabricants!
C’est aussi le même genre de raisonnement absurde qui transparaît très clairement lorsqu’il est écrit: « Il existe des groupes de population difficiles à atteindre parce qu’ils sont en bonne santé, consultent peu et son peu réceptifs aux messages de prévention. Il s’agit notamment des adolescents et des jeunes adultes, chez qui les recommandations vaccinales contre la coqueluche, la varicelle, le méningocoque C, le papillomavirus sont difficiles à appliquer. »
Pour aider à cet objectif de chiffres (plutôt qu’un objectif sanitaire vrai), la vaccination des adultes et ados sera d’ailleurs justement le thème de cette 7° Semaine européenne de la Vaccination qui débutera le 21 avril prochain, à l’initiative de la très crédible OMS.
E) Encourager la vaccination des immunodéprimés (dont ceux sous chimiothérapie!)
Alors que les vaccins dépriment et affaiblissent le système immunitaire [cfr point (18) en page 16 de ce document] , on recommande tout particulièrement de vacciner les gens déjà immunologiquement affaiblis… cherchez l’erreur! Et ce alors que le Pr Floret avoue pourtant dans le BEH que « Les recommandations vaccinales pour ces populations représentent un enjeu important et une tâche difficile en l’absence d’études vaccinales les concernant. »
Les vaccinalistes ont donc transformé l’adage (de sagesse) populaire « Dans le doute, abstiens-toi. » en « Dans le doute, vaccine quand même. ». Merveilleux, plein de bon sens!
Les conclusions de ces recommandations peuvent ainsi se résumer dans plusieurs grands constats incontournables :
1°) Les officiels ne se rendent même plus compte du degré interpellant d’absurdité de leurs recommandations. La raison évidente en est bien sûr un aveuglement de type idéologique (quand on poursuit une idéologie, aucune remise en question, aucun retour en arrière n’est envisageable…)
2°) Les officiels répondent AVANT TOUT aux impératifs commerciaux. Dans cette logique aussi, tout retour en arrière, toute reconsidération du principe vaccinal est tout bonnement inconcevable,… il y a les actionnaires, les dividendes, le chantage à l’emploi, « l’image du pays » à l’étranger en termes de prétendues avancées technologiques et biotechnologiques et puis l’OMS aussi, ne l’oublions pas non plus celle-là. Ces impératifs commerciaux sous-entendent donc fatalement la médicalisation de gens en bonne santé et la création incessante de faux besoins par le biais de campagnes de peur et de dramatisation savamment orchestrées.
3°) Les officiels ignorent la désaffection vaccinale ou plutôt souhaitent à tout prix la combattre, ce qui sous-entend qu’ils NE RESPECTENT PAS LA VOLONTE POPULAIRE ET LE LIBRE-ARBITRE DE CHACUN.
La vaccination ou l’éloge de l’incohérence:
Voir aussi l’article « Harcèlement vaccinal: un témoignage audio plus que jamais d’actualité »:
Et pour ceux qui n’étaient pas au courant, voir ici sur la suspension des vaccins Prevnar et Rotateq au Portugal suite à de graves effets secondaires:
MESSAGE CONCERANT LE GARDASIL
Voici un témoignage émouvant, celui de Rachel Celli, maman de Laetitia, qui a eu la gentillesse et le courage de nous faire parvenir ce témoignage sur la suite du parcours de sa fille. Un témoignage qui démontre de façon cruelle le peu d’égards qu’on réserve aux victimes de cette propagande, hélas bien huilée :
Bonjour à tous,
J’ai reçu les conclusions finales de la commission qui devait statuer après l’expertise demandée par la CRCI au sujet de notre demande d’indemnisation.
Le résultat est bien sûr sans surprise, même s’il me dégoûte au plus au point.
La commission dit : « Puisque le lien avec le Gardasil n’est pas explicitement confirmé, malgré la chronologie des faits,  la demande est rejetée ».
Il faut tout de même savoir qu’il est très difficile d’affirmer à 100% que le Gardasil est responsable et que la soixantaine de médecins et professeurs consultés n’ont jamais voulu prendre cette décision. Le doute profite donc au laboratoire comme on pouvait le prévoir, puisque c’est à nous victimes d’apporter la preuve du fait que nous soyons victimes.
Il est intéressant de constater que si un français empoisonne son voisin, il va directement en prison et paye des dommages, alors que les labos, eux, empoisonnent nos enfants avec la bénédiction des instances de l’état, et bien sûr sans verser aucune indemnisation aux victimes.
On peut parler d’empoisonnement, puisque ce vaccin contient de l’aluminium, très controversé en ce moment, et du BORAX interdit par la réglementation Européenne puisque considéré comme toxique, et dont les emballages doivent comporter  la tête de mort.
Je reviens sur l’expertise que ma fille a subie et qui m’a appris plusieurs choses :
La première, c’est qu’il est inutile de consulter des cardiologues, gastro, gynéco, pneumo, neuro, psy, rhumato, et autres grands professeurs, car les experts sont des gens qui, en fait, sont tout ça à la fois. J’explique: un neurologue et un pharmacologue, déguisés en experts, se sont évertués pendant plus d’une heure à démonter point par point tous les examens de tous les médecins cités plus haut. Ces experts se sont uniquement basés sur les documents fournis par le labo, et ne semblaient pas du tout intéressés par les informations que je détenais. Ils ne voulaient absolument pas en entendre parler.
Alors qu’un psy avait affirmé que ma fille ne présentait aucun syndrome d’anxiété ni de dépression et qu’un suivi psy ne servait à rien, ces deux experts, eux, ont écrit sur leur rapport que ma fille était dépressive et que son état relevait d’un suivi psy ; et tout ça en un peu plus d’une heure. Ces gens sont vraiment SURNATURELS !
Ils détiennent un pouvoir fantastique, incroyable et sont capables de se substituer à n’importe quel médecin et poser un diagnostic irréfutable.
La deuxième chose, c’est que la France est divisée en 2 catégories de personnes : les médecins très, très intelligents et les autres, vous et moi, les débiles.
Explication : les experts examinent les pieds de ma fille : oui, oui, elle à une voûte plantaire creuse ???? Commentaire de l’expert :  » ah, elle a les pieds creux, c’est bon, on arrête là, c’est neurologique… Je pose une question : « et ça veut dire quoi? « 
Réponse : « On ne va pas vous faire un cours de médecine, vous ne comprendriez rien!!! »
Voilà, je ne suis pas médecin, donc je suis débile!!!!!!! Comme tous les gens qui ont les pieds creux. Ce qui m’amène à une réflexion : dans l’armée, étaient refusés tous les hommes qui avaient les pieds plats, donc ils étaient sûrement trop intelligents pour obéir bêtement aux ordres, ceci explique sûrement cela !
La troisième chose : les experts me disent : » Franchement presque 2 millions de gamines ont été vaccinées avec le Gardasil et seulement 2 d’entre elles se disent victimes, ce n’est pas sérieux et ça n’aboutira pas ». Exact.
Depuis juillet, je n’ai pas arrêté de témoigner sur diverses chaînes de télévision, dans des tas de journaux, à la radio pour informer les gens, réveiller les consciences. J’ai passé des heures à répondre au téléphone à certains d’entre vous et à d’autres qui ne m’ont pas laissé leur adresse mail, et quand j’ai envoyé des journalistes vous contacter pour avoir d’autres témoignages et ainsi être plus crédible, ces journalistes sont revenus vers moi en me disant que personne ne voulait témoigner. Je vous comprends, car depuis toute cette médiatisation je n’arrive plus  à me faire soigner. Mais nous ne sommes pas crédibles si nous ne sommes que 4 ou 5 à faire parler du Gardasil ; il faut qu’il y ait d’autres témoignages, que les médecins et l’état se rendent compte de l’ampleur du carnage. A un moment, il faut arrêter d’avoir peur ou honte, de se cacher derrière les autres en attendant de voir ce qui va se passer, et il faut avoir le courage de s’élever contre toute cette machination très bien huilée qui consiste à dire : » Pour en sauver des centaines, il faut bien qu’il y ait un pourcentage de pertes ». Oui, cette phrase, des professeurs et médecins me l’ont dite, en rajoutant : «  Vous, vous n’avez pas de chance ! » Voilà, ma fille fait partie d’un pourcentage de pertes acceptables, ni plus ni moins et je dois faire avec… !
Nous avons eu une vie avant le Gardasil et depuis plus de 4 ans nous avons une autre vie, qui tourne autour du Gardasil. J’ai dû arrêter de travailler pour m’occuper de ma fille, la trimbaler à travers toute la France pour diverses consultations, examens, biopsies, opérations… Tout cela a pris du temps, de l’énergie et beaucoup d’argent, car les frais de carburant, les billets de trains, les frais d’hôtel, les repas, les parkings, les autoroutes ne sont pas remboursés par la sécurité sociale. Notre vie de famille s’en est trouvée toute retournée, ainsi que notre vie sociale. Ma fille aujourd’hui n’a toujours pas de diagnostic posé, personne ne comprend ses crises de paralysie, de tremblements, ses nausées quotidiennes avec ses fièvres, ses bouffées de chaleur, ses névralgies, ses douleurs pelviennes, ses syncopes, personne ne propose de traitement. Pendant ce temps là, a 21 ans, elle doit composer avec tout cela, ne peut pas se rendre en fac plus de 2 h par jour, car elle est extrêmement fatiguée par des douleurs dans les jambes ; elle ne peut plus conduire ; je dois l’accompagner quand elle veut faire des courses, car le bruit et la lumière lui donnent des vertiges, elle ne peut pas accompagner ses amies dans des fêtes ou au cinéma, comme tous les jeunes de son âge, et je ne sais même pas si elle sera un jour capable de travailler et de subvenir à ses besoins.
Notre avocat n’a pas souhaité continuer à s’occuper du dossier, et peu d’avocats veulent bien le faire. Je vais donc me refaire une santé financière pour demander une contre expertise et relancer l’affaire.
Il serait souhaitable que beaucoup de victimes commencent à faire parler d’elles par voix de presse pour qu’enfin la population, les médecins et nos instances de l’état prennent pleinement conscience du problème. Nous avons été seulement 5 à témoigner et ce n’est pas suffisant, tant que nous n’organiserons pas un mouvement d’ampleur, nous serons discrédités. C’est seulement le nombre qui fera en sorte que nous soyons crus et écoutés.
Pendant que nous sommes là à attendre bien sagement dans notre coin, muselés comme il faut, d’autres gamines se font vacciner en ayant l’illusion que ce vaccin est magique et qu’elles n’auront pas de cancer du col de l’utérus, sans connaître les dangers de l’aluminium et  du borax.
L’information ne circule que très mal, pour preuve : quand on me pose des questions dans ma ville et que j’informe sur le borax, on me regarde avec des yeux ronds en me répondant : « Ce n’est pas un poison, sinon Xavier Bertrand n’en aurait pas autorisé le remboursement » et quand je parle des 2 ans et demi d’essais cliniques seulement », on me répond la même chose.
Voilà comment l’état permet au labo de continuer à s’enrichir. Le peuple part du principe que l’état le protège et que si l’état autorise un produit, c’est qu’il est sans danger….alors quand on apprend à ce même peuple que le ministre a autorisé le remboursement quelque mois avant la décision de l’AMA, censé lui nous protéger, ce même peuple, ne le croit absolument pas.
Nous n’avons aucune chance de redonner la vue à des gens qui ne veulent pas voir.
Dans quelques semaines, on va me demander d’aller voter, d’élire un personnage qui devra avant tout nous gouverner et nous protéger, qui sera payé par nos impôts, et qui continuera sa formidable protection comme ses prédécesseurs l’ont fait, avec le sang contaminé, l’hépatite B, l’affaire Tchernobyl (je vous rappelle qu’ils nous ont pris pour des andouilles en nous assurant que les nuages n’avaient pas passé la frontière française), le médiator interdit depuis 10 ans en Allemagne, mais sans danger pour les français, les prothèses PIP et bientôt une affaire de prothèses de hanches… Comment ne pas penser à cet expert me faisant comprendre que j’étais débile, bien sûr ! Nous avalons toutes les couleuvres qu’ils nous envoient sans sourciller. Comment pourrait- il en être autrement d’ailleurs…
Le jour de l’expertise, j’ai gagné en intelligence, et tout ce que je vois aux informations est décortiqué et analysé. Et non, je ne les crois plus !
Je suis obligée de payer mes taxes et impôts qui vont bien sûr faire vivre confortablement tous ces gens qui nous gouvernent, mais il n’est pas question que je le fasse sans réagir. Toutes les lois votées ne sont pas faites pour nous protéger mais uniquement pour les protéger eux.
Pour preuve, une chose qui s’est passée cet été, interdisant aux victimes d’un médicament de s’attaquer au labo si elles sont victimes d’un effet indésirable marqué sur la notice. Regardez un peu la liste des effets indésirables du Gardasil et prenez conscience de cette loi ! Aucune victime ne pourra plus s’élever contre le labo, et cela à été pondu après la médiatisation des affaires Médiator et Gardasil, donc : bonne chance à tous !
J’ai voulu surprotéger mes enfants et j’ai donc été punie. A trop vouloir, on finit par ne plus rien avoir, et c’est bien vrai.
Pendant l’expertise, un des experts m’a dit cette phrase « MAIS MADAME, CE N’EST PAS LE LABORATOIRE QUI VOUS A OBLIGEE A FAIRE CE VACCIN SUR VOTRE FILLE, C’EST VOUS QUI AVEZ PRIS CETTE DÉCISION, VOUS N’AVEZ QU’A VOUS EN PRENDRE A VOUS MÊME. »
Et oui, personne ne nous a forcées à faire ce vaccin… Un peu facile tout de même…
J’ai perdu mon utérus à l’âge de 38 ans et à 40 j’ai subi une opération sur un sein, alors forcément, quand on me sort à grand renfort de publicité qu’il existe un moyen pour que ma fille ne subisse pas la même chose que moi, je fonce, c’est humain.  La corde sensible, voilà leur grande force, et ça marche, puisque bon nombre d’appels que j’ai eus venaient de mamans qui avaient elles aussi eu des problèmes de santé…
Tout ça pour vous avertir, que si dans votre dossier il existe le moindre doute sur le fait que le Gardasil soit en liaison avec les problèmes de santé de votre fille, la CRCI donnera le bénéfice du doute au labo, et refusera votre demande.
BON COURAGE  à tous et bravo à ceux qui ont lu ce message dans son intégralité, celui d’une mère qui n’est même plus en colère ; seulement dégoûtée par le comportement de beaucoup de personnes censées protéger à tout point de vue le peuple français.
Rachel Celli

1 commentaire:

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