vendredi 23 mai 2014

Les différents types de dépression

                     SANTE et BIEN-ETRE                          

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16 mai 2009
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Les différents types de dépression :

La dépression : les informations sur cette maladie

Les différents types de dépression : 

Trouble dépressif majeur
Cela signifie une dépression caractérisée avec de nombreux symptômes.
Ce terme est imposé par le DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders)

Une humeur triste dépressive
Elle est décrite comme plus intense que la douleur d’un deuil.
La personne est sans joie et opprimé, parfois il est incapable de percevoir tout sentiment.
Chez les enfants et adolescents, cela peut se manifester par une irritabilité accrue.

Anhédonie 
Une diminution du plaisir ou de l’intérêt pour toutes activités, y compris celles qui procurent du plaisir habituellement. Les habitudes se modifient, les passe-temps sont délaissés, tout semble monotone et vide, y compris les activités habituellement gratifiantes.

Asthénie
Une sensation de fatigue ou de diminution d’énergie.

Des idées noires
Une volonté de mourir, idées suicidaires actives, avec ou sans plan spécifique, finalement tentative de suicide.

La Mélancolie
Le terme mélancolie était utilisé en psychiatrie pour caractériser un état dépressif grave et aigu présentant de grands risques de passages à l’acte suicidaires.
Il a aujourd’hui été délaissé et on utilise plus couramment l’expression : dépression majeure.

La dépression psychotique
Elles se caractérisent par des délires de culpabilité, de honte universelle, de punition, d’appauvrissement mental, etc.

La dépression hostile / agressive
La personnalité du sujet semble avoir changé radicalement. Il est devenu plus agressif, plus impulsif, ses colères sont mal maitrisées, il a des violences soudaines et inhabituelles…
Cela viendrait du fait que le sujet ne supporte plus l’idée d’être l’objet de remarques blessantes (existantes ou supposées) à son égard.

La dépression masquée
Les dépressions masquées ou hypocondriaques se caractérisent par une absence de symptômes de l’humeur dépressive avec une prépondérance des plaintes somatiques. Elles prennent souvent l’aspect d’une douleur atypique, continue, fixée, qui reste malgré la prescription d’antidouleur. Le sujet est souvent inconscient qu’il souffre moralement, c’est la raison pour laquelle il « somatise ».

La dépression anxieuse / agitée
Ces sujets courent un risque suicidaire élevé. Contrairement aux caractéristiques courantes de la dépression, l’agitation psychique et motrice sont majeures, ils sont enclins à des crises de panique.

La dépression saisonnière
La dépression saisonnière s’installe généralement à l’automne ou au début de l’hiver et dure jusqu’au printemps.
Les symptômes sont ceux de tout épisode dépressif : tristesse permanente, perte d’intérêt générale, irritabilité, troubles de sommeil, perte ou gain de poids, pensées suicidaires.
Les symptômes de la dépression saisonnière se distinguent de ceux des blues de l’hiver, lesquels ne nous empêchent pas de continuer à assumer nos activités quotidiennes. Ceux qui souffrent de dépression saisonnière sont très affectés dans leur quotidien, que ce soit sur le plan travail ou des relations.

La dépression du bébé
Des tableaux de dépression graves, pouvant mettre en jeu le pronostic vital, ont été décrits depuis les années 1950 chez les bébés, notamment après de brutales pertes parentales. René Spitz a ainsi défini l’hospitalisme, état survenant lors d’une séparation brutale avec les parents, passant par une phase de pleurnichements, puis une phase de protestation, glapissement, une perte rapide de poids, un arrêt du développement.
Puis une troisième phase de désinvestissement du monde qui l’entoure et de retrait conduisant à ce que Spitz a nommé la dépression anaclitique.
S’il se prolonge, il peut être à l’origine de troubles intellectuels, de difficultés psychologiques, avec une plus grande vulnérabilité aux séparations, réalisant des tableaux carentiels dont le risque évolutif est lourd.

La dépression chez l’enfant
La dépression existe chez l’enfant, mais elle a été repérée uniquement dans les années 1970.
En effet, contrairement à l’adulte, l’enfant déprimé ne se plaint pas de tristesse ni de désespoir, et sa symptomatologie est peu bruyante.
Une conférence de consensus française a permis d’en clarifier la symptomatologie et les principes d’interventions thérapeutiques.

La dépression de l’adolescent
La dépression à l’adolescence peut parfois être caractérisée par les mêmes symptômes que chez l’adulte. On observe un trouble de l’humeur avec un sentiment d’ennui, d’irritabilité. Des troubles somatiques et des troubles anxieux fréquemment associés : phobie sociale, attaque de panique, trouble obsessionnel compulsif.

La dépression de la personne âgée
Les dépressions pseudo-démentielles se caractérisent par des troubles graves de la mémoire, de l’orientation, de la vigilance, du jugement, de régression affective,des performances intellectuelles.
La dépression : les informations sur cette maladie
Les différents types de dépression :
Trouble dépressif majeur
Cela signifie une dépression caractérisée avec de nombreux symptômes.
Ce terme est imposé par le DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders)
Une humeur triste dépressive
Elle est décrite comme plus intense que la douleur d’un deuil.
La personne est sans joie et opprimé, parfois il est incapable de percevoir tout sentiment.
Chez les enfants et adolescents, cela peut se manifester par une irritabilité accrue.
Anhédonie
Une diminution du plaisir ou de l’intérêt pour toutes activités, y compris celles qui procurent du plaisir habituellement. Les habitudes se modifient, les passe-temps sont délaissés, tout semble monotone et vide, y compris les activités habituellement gratifiantes.
Asthénie
Une sensation de fatigue ou de diminution d’énergie.
Des idées noires
Une volonté de mourir, idées suicidaires actives, avec ou sans plan spécifique, finalement tentative de suicide.
La Mélancolie
Le terme mélancolie était utilisé en psychiatrie pour caractériser un état dépressif grave et aigu présentant de grands risques de passages à l’acte suicidaires.
Il a aujourd’hui été délaissé et on utilise plus couramment l’expression : dépression majeure.
La dépression psychotique
Elles se caractérisent par des délires de culpabilité, de honte universelle, de punition, d’appauvrissement mental, etc.
La dépression hostile / agressive
La personnalité du sujet semble avoir changé radicalement. Il est devenu plus agressif, plus impulsif, ses colères sont mal maitrisées, il a des violences soudaines et inhabituelles…
Cela viendrait du fait que le sujet ne supporte plus l’idée d’être l’objet de remarques blessantes (existantes ou supposées) à son égard.
La dépression masquée
Les dépressions masquées ou hypocondriaques se caractérisent par une absence de symptômes de l’humeur dépressive avec une prépondérance des plaintes somatiques. Elles prennent souvent l’aspect d’une douleur atypique, continue, fixée, qui reste malgré la prescription d’antidouleur. Le sujet est souvent inconscient qu’il souffre moralement, c’est la raison pour laquelle il « somatise ».
La dépression anxieuse / agitée
Ces sujets courent un risque suicidaire élevé. Contrairement aux caractéristiques courantes de la dépression, l’agitation psychique et motrice sont majeures, ils sont enclins à des crises de panique.
La dépression saisonnière
La dépression saisonnière s’installe généralement à l’automne ou au début de l’hiver et dure jusqu’au printemps.
Les symptômes sont ceux de tout épisode dépressif : tristesse permanente, perte d’intérêt générale, irritabilité, troubles de sommeil, perte ou gain de poids, pensées suicidaires.
Les symptômes de la dépression saisonnière se distinguent de ceux des blues de l’hiver, lesquels ne nous empêchent pas de continuer à assumer nos activités quotidiennes. Ceux qui souffrent de dépression saisonnière sont très affectés dans leur quotidien, que ce soit sur le plan travail ou des relations.
La dépression du bébé
Des tableaux de dépression graves, pouvant mettre en jeu le pronostic vital, ont été décrits depuis les années 1950 chez les bébés, notamment après de brutales pertes parentales. René Spitz a ainsi défini l’hospitalisme, état survenant lors d’une séparation brutale avec les parents, passant par une phase de pleurnichements, puis une phase de protestation, glapissement, une perte rapide de poids, un arrêt du développement.
Puis une troisième phase de désinvestissement du monde qui l’entoure et de retrait conduisant à ce que Spitz a nommé la dépression anaclitique.
S’il se prolonge, il peut être à l’origine de troubles intellectuels, de difficultés psychologiques, avec une plus grande vulnérabilité aux séparations, réalisant des tableaux carentiels dont le risque évolutif est lourd.
La dépression chez l’enfant
La dépression existe chez l’enfant, mais elle a été repérée uniquement dans les années 1970.
En effet, contrairement à l’adulte, l’enfant déprimé ne se plaint pas de tristesse ni de désespoir, et sa symptomatologie est peu bruyante.
Une conférence de consensus française a permis d’en clarifier la symptomatologie et les principes d’interventions thérapeutiques.
La dépression de l’adolescent
La dépression à l’adolescence peut parfois être caractérisée par les mêmes symptômes que chez l’adulte. On observe un trouble de l’humeur avec un sentiment d’ennui, d’irritabilité. Des troubles somatiques et des troubles anxieux fréquemment associés : phobie sociale, attaque de panique, trouble obsessionnel compulsif.
La dépression de la personne âgée
Les dépressions pseudo-démentielles se caractérisent par des troubles graves de la mémoire, de l’orientation, de la vigilance, du jugement, de régression affective,des performances intellectuelles.
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