Site Web pour cette image
Pour visiter tous mes blogs : cliquez ci-dessous à droite
http://zone-7.net/v3/articles/
Il était une fois… une histoire qui ne répondait pas au vieil adage,
pourtant éprouvé, qu’est « Si ça semble trop beau pour être vrai,
c’est que ça l’est ». Cette histoire, c’est celle de l’argent
colloïdal. Bactéricide hors pair, germicide par excellence,
antibiotique naturel, l’argent colloïdal est source de plusieurs
guérisons « miraculeuses » que les sceptiques ne sont pas prêts
d’accepter. Et pourtant, les faits parlent d’eux-mêmes. Se guérir
d’une hépatite, d’un cancer, d’une vilaine grippe ou d’une affection
de la peau? La réponse se trouve sous le couvercle d’une petite
bouteille opaque dont la solution aqueuse renferme des ions d’argent
et d’infimes particules d’argent dites colloïdales, c’est-à-dire en
suspension. L’argent colloïdal élimine plus de 650 espèces de
microbes, virus, bactéries, parasites, moisissures, champignons et
mycoplasmes, dont certains en quelques minutes seulement. Le tout sans
aucun effet secondaire nocif connu? Allons donc! Ce serait trop beau
pour être vrai.
Je vous avais averti.
Et ce n’est pas tout.
La préparation de cette substance ne requiert ni laboratoire, ni
connaissances poussées en chimie ou en pharmacologie. Le tout peut
être préparé avec des instruments et une technique dont la simplicité
est déconcertante. Pas étonnant que le cartel pharmaceutique en
interdise la vente dans plusieurs pays et qu’aucune recherche «
officielle » n’ait été financée par ledit groupe. Il est de loin
préférable pour leurs profits que cette information soit le plus
méconnue possible. Alors à nous de jouer.
Bref historique
L’utilisation de l’argent pour traiter maladies, brûlures, blessures
et autres joies de la vie corporelle n’est pas récente. L’argent
colloïdal n’est pas un nouveau traitement ou une découverte récente,
c’est plutôt un « remède de grand-mère », moyennant que cette
grand-mère ait vécu à une époque très lointaine ;-). Depuis la plus
haute antiquité, et peut-être même avant, l’argent était déjà connu
pour ses propriétés germicide et bactéricide. Voici ce qu’en dit Frank
Goldman dans son livre Une arme secrète contre la maladie : l’argent
colloïdal :
Il était employé dans des ustensiles destinés aux enfants afin de les
protéger contre des maladies dont l’origine n’était pas connue à ces
époques. L’expression « Être né avec une cuillère d’argent dans la
bouche » vient de ce phénomène, son utilisation récente comme
indication de richesse n’est qu’une conséquence. Les Vénitiens
transportaient eau, vin et vinaigre dans des réservoirs en argent pour
les conserver ; lors de la conquête de l’ouest américain, les
pionniers protégeaient leur réserve d’eau, de lait et d’aliments en
plaçant des pièces de monnaie en argent dans leurs outres, barriques
ou récipients pour en préserver la fraîcheur. Alexandre Le Grand
(356-323 av. J.C) transportait son eau dans des récipients argentés.
La nourriture pour les aristocrates était servie sur des plateaux en
argent pur; ils mangeaient avec des ustensiles en argent et buvaient
leurs boissons dans des coupes en argent.
L’utilisation médicale de l’argent a une longue tradition, les
Macédoniens plaçaient des plaques en argent sur les blessures pour
aider à leur cicatrisation. La Grèce antique connaît l’apogée de la
phytothérapie du temps d’Hippocrate (460-370 av JC), qui décrivit plus
de 230 plantes médicinales dans son ouvrage « Corpus Hippocraticum »,
science à laquelle il avait été initié par son père, Héraclide. Il la
développa et l’exerça en tant que médecin itinérant au cours de ses
voyages en Asie Mineure et en Grèce et, à cette époque, il enseigna à
ses disciples que la fleur d’argent (poudre extra-fine) cicatrisait
les blessures ulcérées.
De nombreux médecins, alchimistes, comme Pline (78 après J.C), Gerber
(702-765), Avicenne (980-1037, Paracelse (1493-1541) conseillaient
l’usage médical de l’argent.
Au Moyen Âge, les médecins arabes employaient l’argent dans le
traitement des palpitations et des rétentions hydriques. Pour les
alchimistes, l’argent correspondait à la lune (macrocosme) et à la
tête (microcosme), il fut donc administré aux fous et aux
épileptiques. C’est au XVIIIe siècle que le nitrate d’argent devint
une thérapeutique de choix pour le traitement des plaies, des ulcères
et de la plupart des affections de la peau.
On comptait plus de 60 préparations à base d’argent dans la
pharmacopée du XIXe siècle.
En 1869 le scientifique Ravelin indiquait que l’argent à doses infimes
déployait des effets antimicrobiens.
En 1881 le gynécologue de Leipzig, Carl Sigmund Franz Crède
(1819-1882), recommandait de prévenir l’inflammation de l’œil du
nouveau-né par le traitement d’une solution à 1 % de nitrate d’argent.
Les résultats étaient tellement impressionnants qu’on a ordonné ce
traitement, nommé « Prophylaxie Crède », pour les nouveaux-nés ! Avec
l’instauration de cette pratique, le taux d’ophtalmie des nouveau-nés
tomba rapidement de 10 % à 0,2 %. En conséquence, cette pratique
devint obligatoire aux USA et dans la plupart des pays européens.
En 1893, le botaniste suisse Von Nägeli (1871-1938) découvrait que la
concentration de seulement 0.000 000 1 % des ions argentés suffisent
pour tuer le germe spirogyre (une algue verte d’eau douce, se
présentant sous la forme de filaments) qui se trouve dans l’eau
fraîche.
Les propriétés anti-infectieuses de l’argent colloïdal furent énoncées
au début du XXe siècle.
Les Chinois utilisent l’acupuncture depuis environ 7 000 ans. Ils ont
rapidement découvert l’effet antimicrobien des aiguilles en argent. On
peut penser que des milliers d’acupuncteurs de par le monde utilisent
aujourd’hui des aiguilles argentées pour l’acupuncture.
L’argent est toujours utilisé dans la médecine traditionnelle indienne
(ayurvédique), entre autres pour traiter fièvres chroniques,
inflammations intestinales, hyperactivité de la vésicule biliaire et
ménorragies.
En 1928, Krause eut l’idée de placer un revêtement d’argent dans des
systèmes de filtration pour l’eau domestique. Actuellement, plus que
la moitié des lignes aériennes mondiales emploient l’argent pour
traiter l’eau des avions destinée aux usagers. Les Américains et les
Russes ont choisi un système de traitement de l’eau à base d’argent
pour leurs navettes spatiales.
Aux É.-U., des villes ont choisi l’argent pour traiter les eaux usées,
dans certains hôpitaux l’installation de système d’ionisation
argent/cuivre ont permis d’éradiquer la Legionella Pneumophila de
leurs réseaux d’eau chaude.[1]
Bien qu’il soit encore utilisé, l’argent colloïdal a disparu des
cabinets des médecins lors de l’arrivée des antibiotiques vers la fin
des années 30. Il était pourtant considéré comme étant le « nec plus
ultra » des traitements pour un nombre impressionnant d’affections,
mais cartel pharmaceutique et propension au profit obligent, l’argent
colloïdal est rapidement tombé dans l’oubli.
La magie de l’argent colloïdal
L’argent colloïdal en usage externe peut être utilisé pour accélérer
la cicatrisation des brûlures et de diverses blessures ou encore pour
soigner une panoplie d’affections de la peau, des yeux, des oreilles,
etc. Il est communément bu afin de combattre efficacement et
rapidement toute infection virale ou bactérienne. Même que plusieurs
personnes (moi inclus) en prennent quotidiennement de façon préventive
et/ou en tant que complément alimentaire. Il peut aussi être vaporisé
dans les voies respiratoires à l’aide d’un nébuliseur ou même utilisé
en intraveineuse dans les cas plus graves. Bref, à la sauce du jour,
selon vos maux. Traiter ces types de pathologie est une chose, mais
qu’en est-il des maladies plus graves telles que les cancers?
L’argent colloïdal a plus d’un tour dans son sac. Il ne lui suffisait
pas d’être un antibiotique, un germicide et un bactéricide hors du
commun, il lui fallait plus. Et plus, il est. Le Dr Becker, auteur de
The electric body (1985), a étudié le mécanisme par lequel les ions
d’argent régénèrent les tissus et voici une des conclusions à laquelle
il est arrivé :
Les ions d’argent forment un complexe avec les cellules vivantes
autour de la blessure pour produire des cellules-souches immédiatement
convertibles. Le résultat net de cette conversion est que les
cellules-souches fournissent toutes les composantes nécessaires à la
restauration complète de toute structure atomique.[2]
Nous parlons donc ici de régénération des tissus, rien de moins! Un
délire de science-fiction? Un leurre? Je vous entends presque dire : «
Si c’est trop beau pour être vrai… ». Mais lorsque nous saisissons la
mécanique de profit du monde dans lequel nous vivons, nous comprenons
rapidement qu’une telle panacée n’est aucunement rentable. En effet,
si tous les « gens du peuple » arrivent à se guérir de la majorité des
affections qu’ils subissent, le cartel pharmacomédical en prendrait
pour son rhume :-). Et c’est exactement la raison pour laquelle aucune
étude sérieuse (officielle) des bienfaits de l’argent colloïdal n’a
été entreprise par l’establishment médical. Beaucoup d’informations
sur le sujet sont tout de même disponibles et l’AC peut se faire à
l’aide d’une simple électrolyse.
Voici une liste non exhaustive (recueillie sur le Net) de pathologies
pour lesquelles l’argent colloïdal s’est avéré efficace :
Abcès, Acné, Allergies, Amygdales, Angines, Aphtes, Arthrite, Asthme,
Blessures, Plaies, Bronchite, Brûlures, Coups de soleil, Cancer,
Candida albicans, Cellulite, Colite, Conjonctivite, Maladie de Crohn,
Soins du cuir chevelu, Dents (carries), Diarrhée, Eczéma, Fatigue
chronique, Infection de l’estomac, Fibromyalgie, Gale, Hépatite C,
Herpès, Hidrosadénite, Ulcères d’estomac, Diabète, Choléra, Malaria,
Peste bubonique et Lèpre, HIV/Sida, Infections des poumons, Infections
cutanées, Problèmes de foie, Yeux, Oreilles, Reins, Vessie, Voies
urinaires, Intoxication alimentaire, Kystes, Levures, Maladie de Lyme,
Moisissures, Mycoses, Pancréatite, Pellicules, Mauvaise haleine,
Pneumonie, Rhumes et Grippes, Saignements, Sclérose en plaques,
Sinusite, Stérilité, Teigne, Varicelle, Verrues, Zona…
D’autres exemples de pathologies sont présents dans le livre de Frank Goldman.
Effets secondaires et argyrose
J’ai mentionné en début d’article qu’il n’y avait aucun effet
secondaire à l’utilisation de l’agent colloïdal. C’est vrai et c’est
faux à la fois. C’est vrai dans la mesure où il n’y a aucun effet
secondaire négatif, c’est-à-dire dommageable pour la santé. Mais c’est
faux en ce qui concerne certains symptômes.
« L’effet Jarisch-Herxheimer » ou ce que l’on nomme une « crise de
guérison » sera le principal effet secondaire de quiconque se soigne
d’une grave affection (idem pour les utilisateurs des générateurs de
fréquences « Rife »). L’élimination rapide d’un très grand nombre
d’agents pathogènes provoque une réaction corporelle tout à fait
naturelle en procédant au rejet des corps inertes par les voies
naturelles. En somme, les symptômes d’une » crise de guérison » se
traduisent par plus ou moins ceux d’un rhume ou d’une grippe : mal de
gorge, mal de tête, écoulement nasal, etc. Cette condition n’est que
passagère et peut être tempérée par l’arrêt ou la diminution des doses
ingérées.
L’argyrose, quant à elle, est une coloration grise ou brunâtre de la
peau ou des muqueuses, due à une intoxication par des sels d’argent.
Bien que l’argyrose ne soit pas une condition esthétiquement
souhaitable, elle n’est en rien dangereuse pour la santé. Et bien
qu’elle soit liée directement à l’argent, elle n’est en rien créée par
l’ingestion ou l’utilisation en surface des colloïdes d’argent. En
effet, les colloïdes sont des particules extrêmement petites et ont,
de ce fait, la particularité de ne pas s’accumuler dans le corps comme
le ferait l’ingestion de particules plus grosses tels les sels
d’argent. Bien que CNN ait mené une propagande de peur relativement à
l’argent colloïdal, l’argyrose ne concerne pas les consommateurs
d’argent colloïdal outre s’ils consomment des produits de mauvaise
qualité dans lesquels on retrouve une quantité trop importante de sels
d’argent. Raison pour laquelle il est important de savoir exactement
ce que l’on ingurgite.
ps: j'achète le mien chez Catalyons à Paris
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire