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Bonjour,
Vous souvenez-vous de l'affaire Ashya King. Mais si, rappelez-vous... Ce petit garçon qui avait été enlevé par ses propres parents ! Les fonctionnaires d'Interpol, mis en alerte, avaient fini par les repérer en Espagne d'où ils s'apprêtaient à fuir vers Prague. Les salauds !
Et puis, la vérité a fini par se propager. De quoi étaient accusés Brett et Naghmeh King, les parents kidnappeurs ? D'avoir refusé le traitement officiel (au Royaume-Uni) que l'on voulait appliquer au petit Ashya, 5 ans... et d'avoir retiré leur enfant de l'hôpital.
Ils avaient tout abandonné pour leur fils et étaient prêts à vendre leur maison en Espagne pour financer le traitement de la tumeur au cerveau d'Ashya, non disponible en Angleterre : une protonthérapie. Mais ils avaient un gros défaut : ils étaient Témoins de Jéhovah... On les a poursuivis, traqués... La police française a prêté main-forte aux gens d'Interpol. La justice espagnole s'est heureusement opposée à leur extradition.
Aujourd'hui, le petit Ashya va bien, les traces de tumeur ont disparu. Tout le monde regarde ses pieds, honteux, à l'hôpital général de Southampton... Aujourd'hui aussi, un autre petit garçon, le petit Joachim (souvenez-vous, nous avions parlé de lui), est à la maison, bien au chaud, après bien des ennuis lui aussi. Joachim avait été retiré par les autorités françaises à ses parents pour des raisons indignes. Le consensus médical considérait que le nourrisson était mal nourri et qu'il courait un grave danger. Forcément, la maman était végétalienne...
En clair, en Europe, vous n'avez pas intérêt à faire les malins, si vous voulez garder vos enfants avec vous. Dès les premiers examens avant l'accouchement, on va vous regarder de travers quand vous allez demander si cette échographie est dangereuse pour le foetus et vous allez prendre un savon si vous dites que vous ne voulez pas que l'on déclenche le travail. Quant à l'éventualité d'une césarienne... Vous n'aurez plus votre mot à dire dans ce cas. Et soyez heureuse qu'on vous confie le bébé en partant de la clinique!
Plus tard, vous serez sanctionnés si vous ne voulez pas qu'ils subissent les vaccins, ou les transfusions. On vérifiera que vous leur donnez bien de la viande, du lait et du blé, que vous nettoyez bien sous leurs ongles, pourquoi pas ? Sous le prétexte que ce sont vos enfants, on va vous obliger à les soigner comme-ci, à les protéger contre ça. Et je ne veux voir qu'une tête ! Vous allez vous retrouver porteur de la responsabilité d'appliquer à vos enfants des normes que vous refuseriez pour vous-même.
Alors, on va m'objecter que si on laissait tout le monde faire à sa guise, s'improviser docteur, ce serait le bazar ! Et il y aurait plein de morts. Je prétends que c'est déjà le bazar et qu'il y a déjà plein de morts ! Je crois que la plupart des gens aiment leurs enfants, en prennent soin du mieux qu'ils peuvent. Tous ceux qui pensent différemment ne sont pas pour autant des psychopathes ou des criminels.
Finalement, c'est contre cet enfermement que nous nous élevons dans notre journal la plupart du temps. Contre ces traitements obligés, contre ces idées toutes faites. On croit qu'il n'y en a que quelques-unes, mais il y a beaucoup de choses qui sont désormais prises en charge par d'autres... à notre place. Tant de principes "incontestables" nous sont imposés et ne sont jamais remis en question. Voilà pourquoi nous existons, pour que vous y réfléchissiez à deux fois.
Comme, par exemple, le feront celles qui suivent un traitement substitutif hormonal, après avoir lu l'article de Michel Dogna (juste en dessous). Quant à Caroline Morel, (lisez son article encore un peu plus bas), elle a l'oeil qui tressaille. Elle s'inquiétait de savoir si c'était grave, du genre début de Parkinson. Elle sait, maintenant.
Hep-Hep-Hep ! Attendez, ne partez pas !
PS : LE N°23 D'ALTERNATIVE SANTÉ VIENT DE PARAÎTRE. Découvrez son sommaire ci-dessous. Dans le dossier du mois, l'asthme. A part les corticoïdes et les broncho-dilatateurs, on vous a proposé autre chose ? Il y a pourtant d'autres solutions. Il y a plein d'articles ce mois-ci :les jambes sans repos (on nous interroge beaucoup sur ce sujet), les maux de tête (selon les méridiens), les aimants, la méthode Mézières, l'intoxication aux métaux lourds... c'est du lourd. Et puis il y a des vidéos (stage de chamanisme, à voir...), des interviews audio... Bref, abonnez-vous si vous ne l'avez déjà fait. |
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ALTERNATIVE Santé N°23 vient de paraître
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Dossier :
(cinq articles)
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AU SOMMAIRE DE CETTE NEWSLETTER : |
- Ménopause, fuyez le traitement substitutif | par Michel Dogna |
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- Tressautement des paupières, c'est le syndrome de fasciculation
| par Caroline Morel |
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MÉNOPAUSE : NE VOUS LAISSEZ PAS AVOIR PAR LE TRAITEMENT SUBSTITUTIF OFFICIEL
Chaque année en France, plus de 400 000 femmes arrivent à la ménopause, et plus de 12 millions de femmes sont ménopausées. Actuellement, plus de 1,7 million de Françaises suivent un traitement hormonal substitutif (THS), ce qui représente 17 % des femmes ménopausées. Si l'on considère les femmes entre 50 et 65 ans, une sur trois se fait traiter médicalement en dépit des multiples mises en garde proférées par diverses sommités scientifiques, en tant que cofacteur aggravant les risques de cancer du sein et des organes génitaux.
En été 2002, des études américaines ayant confirmé officiellement ce risque, parmi d’autres pathologies (phlébites, pathologies hépatiques…), il en était ressorti une méfiance justifiée mettant en balance certains bénéfices (anti-ostéoporose, anti-bouffées de chaleur, anti-vieillissement de la peau) contre des maladies pouvant être gravissimes, voire fatales.
Un deuxième coup a été à nouveau porté par des chercheurs américains qui ont mis en évidence un risque deux fois plus élevé de maladie d’Alzheimer chez les femmes ayant subi une hormonothérapie pendant plusieurs années. Pour tenter de se dédouaner, les responsables médicaux français ont avancé des arguments douteux du type :
« Les femmes américaines sont obèses et présentent des réactions métaboliques différentes »,
« Les hormones françaises ne sont pas les mêmes que les américaines »,
« Les traitements préconisés sont limités à 5 ans ».
Pourquoi une femme sur deux connaît des troubles de la ménopause
De nombreuses femmes, en vieillissant, ont leurs organes émonctoires (foie, reins, intestins) qui faiblissent. Des portes de sortie de secours provisoires, voire définitives, se mettent en action afin de préserver l’intégrité et le bon fonctionnement des organes vitaux ; les manifestations sont très variées et se manifestent à différents niveaux :
- Peau (eczéma, prurit, abcès, furoncles,ulcères, fistule, etc.)
- Exsudats (sinusite, rhinorrhées, leucorrhées, bronchorrhées, sueurs, etc.)
- Rétention d’eau (le corps cherche à diluer les toxines internes pour s’éloigner des concentrations dangereuses).
Mais il y a un moyen bien pratique pour les femmes de rattraper tous les 28 jours les défaillances du petit ménage hépatorénal ou intestinal (constipation) : ce sont les règles !
Ni vu ni connu, jusqu’à ce qu’arrive la ménopause... Le robinet se ferme alors, et l’intoxication monte doucement, donnant lieu aux troubles majeurs classiques ainsi qu’à des troubles collatéraux tels que insomnies, hypertension, nervosité ou fatigue, voire déprime, le temps que l’organisme se reconstruise un nouvel équilibre hormonal.
Donc, la première chose à faire est d’essayer de remettre en marche les filtres émonctoires avec des draineurs généraux au choix.
- Voie homéopathique : ex : Solidago 9 CH, Berbéris 12 CH ou Lycopodium 15 CH, 25 gouttes avant les repas.
- Voie alimentaire : ex : céleri branche (foie, rein, pancréas).
- Voie phyto : ex : Ribes nigrum 1 D (mac glycériné), 50 gouttes avant ou après les repas.
Le traitement hormonal substitutif
Il y a trois formes possibles de progestérone : molécule de synthèse (la plus répandue car faisant l’objet d’un brevet, bien sûr), origine animale (des laboratoires Prémarin), origine végétale (phythormone boudée par la médecine officielle, car non rentable).
Reprenons en détail chacune des trois formules :
Progestérone de synthèse
Comme je l’ai toujours dit, on ne sait pas copier les molécules organiques dans leur structure géométrique exacte bien que la formule globale soit identique ; il en résulte des propriétés générales à peu près similaires, mais aussi des effets secondaires très différents. En particulier, dans le cas de la progestérone, alors que celle-ci est indispensable à la survie du fœtus chez la femme enceinte, la forme synthétique le tue à coup sûr… Voilà qui explique déjà les risques encourus du TSH cités plus haut.
Progestérone animale
Il s’agit d’un extrait d’urine de juments gravides cruellement exploitées par leslaboratoires Prémarin au Canada. Je m’explique : 100 000 juments sont maintenues debout dans des boxes pendant les 11 mois de leur gestation avec une sonde urinaire qui recueille leur urine 24h sur 24.
Ces bêtes ne sortent jamais et, selon mes renseignements, alors qu’un cheval a besoin de 40 litres d’eau par jour, on ne leur donne que 17 litres pour concentrer l’urine et procéder à une extraction hormonale plus économique.
Ces juments ne peuvent ni bouger ni se coucher, ont des œdèmes aux pattes et sont dans un état grand état dépressif. Au bout du martyre (poulinage), selon leur état, elles sont abattues (dans le meilleur des cas) ou bien elles font un second tour de manège ! Ce scandale avait déjà été dénoncé par Brigitte Bardot il y a plus de dix ans.
Maintenant, si nous observons le suivi au niveau du cabinet médical, il y a un médecin qui ne se soucie guère du sort de ces juments, et une patiente qui ignore tout du médicament ; on ne s’étonnera donc pas que l’ingestion dans le corps d’un tel produit issu de la torture et fortement chargé d’une vibration de souffrance puisse induire de grosses dépressions inexpliquées chez les femmes traitées, en plus des effets collatéraux induits… La loi karmique s’accomplit.
Progestérone végétale
Ce ne sont pas les plantes qui manquent pour fournir des phythormones qui fonctionnent très bien, et sans inconvénients majeurs, telles que :
- Sauge officinale : grand classique depuis des décennies.
Décoction : faire bouillir 3 minutes afin de détruire les éléments neurotoxiques – 1 tasse après les repas principaux.
- Yam (tubercules de Dioscorea mexicana) : il est, dans la tradition amérindienne, conseillé pour soulager les problèmes liés à la diminution de progestérone. Vous pouvez le prendre en gélules, mais les sécrétions acides de l’estomac en détruisent partiellement certains principes actifs. On peut aussi le trouver en crème qui permet une absorption cutanée et conserve une forte concentration en diosgénine (16 %). Par exemple, Yamplex.
- Soja : il est reconnu qu’au Japon, la plupart des femmes supportent beaucoup mieux les symptômes de la ménopause qu’en France. Pourtant, rien n’indique que cela est dû à leur patrimoine génétique, mais plutôt à leur consommation régulière de soja. Celui-ci renferme en fait des isoflavoles qui ressemblent étrangement aux œstrogènes humains.
Notez que pour ne pas être toxique au long cours, le soja devrait être lacto-fermenté. J’ai beaucoup dénoncé l’utilisation du soja, en particulier pour les enfants, et je maintiens ma position, mais concernant les femmes ménopausées, les résultats sont indéniables, avec néanmoins un seul point litigieux : même en bio, la réglementation laxiste porte à 9 % la part d’OGM admissible.
- Houblon : une formule facile, à l’alcool près, c’est de consommer de la bière. Autrement, procurez-vous en pharmacie ou en herboristerie des cônes de houblon à infuser 10 minutes, 3 tasses par jour.
- Silice de prêle ou silicium organique, un à deux bouchons par jour.
- Passiflore : autre remède de la ménopause. En décoction de feuilles + fleurs en bouton, 40 g par litre. Bouillir 1 minute, infuser 10 minutes, 3 tasses par jour.
- Avoine : ses phytœstrogènes régulent aussi bien en hyper qu’en hypo l’œstrogène féminin.
Bien entendu, vous avez compris que la progestérone végétale est la seule qui vous assure de ne pas souffrir d'effets colatéraux. Certaines d'entre elles vous conviendront sans doute mieux que d'autres, mais faites l'expérience plutôt que de vous en remettre aux indications officielles qui vous jettent dans l'impasse. |
Michel Dogna
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C'EST QUOI CE TRESSAILLEMENT DES PAUPIÈRES ?
Je suis certaine que, comme moi, vous éprouvez de temps en temps une curieuse sensation à l’œil, au bras ou dans une jambe, une sorte de tressautement d’un muscle qui se met à trémuler, à vibrer involontairement.
Cette sensation de spasme, c’est l’un de vos muscles, comme enragé, qui se contracte et se décontracte brutalement sans que vous ne puissiez rien y faire.Quel est donc cet étrange syndrome qui nous touche tous et dont personne ne parle ? Et surtout, pourquoi ce trouble existe-t-il et quel mal dans notre organisme dénote-t-il ?
On appelle ça la fasciculation.
C’est en 1938 qu’un nom a été mis sur ce syndrome de contraction visible et involontaire d’un petit groupe de fibres musculaires. Une réaction électrique complexe crée cette contraction et dénote un problème de connexion neuromusculaire. Les fasciculations sont indépendantes de tout contrôle volontaire et créent une sorte de décharge, une fibrillation, qui fait vibrer une partie d’un muscle. Cette vibration est d’ailleurs visible à l’œil nu. Le mollet tremble, la joue, la langue, ou l’œil trémule, le bras ou le dos se contractent rapidement.
Vous en souffrez peut-être sans le savoir
Dans une étude menée en 1993 sur 121 patients ayant passé un électromyogramme (EMG), il a été démontré que 80 % des patients sains souffraient de troubles bénins de la fasciculation. Souvent, on ne se rend pas compte que le trouble est là. Cela commence par les petits symptômes dont je vous ai parlé plus haut : muscles qui se contractent, mini spasmes localisés. Tout le monde est touché, indifféremment de l'âge ou du sexe.
Une sensation d’avoir des bulles sous la peau
Parfois, ces spasmes sont vivables, ils se produisent suffisamment rarement pour que l’on n’y prête pas attention, mais parfois aussi, le phénomène s’accentue ou se produit plus régulièrement. Même bénin, cela devient gênant, dans la vie personnelle et professionnelle. Certains patients se plaignent d’avoir des fasciculations dans la bouche, sur le visage, sur la langue, ils parlent de sensation de bulles sous la peau, de vers ou de fourmi. La situation devient alors intolérable, parfois douloureuse et, si les crises se rapprochent ou sont plus nombreuses, on commence alors à imaginer le pire, surtout quand cela fait plusieurs mois que l’on ressent tous ces symptômes. Nombreux sont celles et ceux qui s’imaginent qu’ils sont en train de développer une maladie neurologique grave.
Maladie neurodégénérative ?
À force de voir son corps trémuler, on finit par penser tout naturellement qu’on est atteint d’une grave maladie neurologique. Il semblerait qu’il n’en soit rien. En tout cas, ce que l’on appelle la fasciculation bénigne n’est probablement pas le signe avant-coureur d’une maladie plus grave, comme la maladie de Charcot ou la maladie de Lyme. Certaines maladies neurodégénératives sont certes accompagnées de spasmes et de fasciculations, mais généralement, les premiers signes de ces maladies sont bien souvent des signes moteurs. Dans une étude majeure menée en 1994 par les chercheurs Eisen et Stewart (Eisen A., Stewart H. « Not-so-benign fasciculation ». Ann Neurol 1994; 35 : 375), les conclusions ont rapporté que les potentiels de fasciculations seraient prémonitoires de SLA (sclérose latérale amyotrophique, ou maladie de Charcot) lorsqu’ils sont de durée plus longue, d’amplitude plus élevée et de forme plus variables. Bien sûr, après 40 ans, ou en présence d’un syndrome de fasciculations trop gênant, il convient évidemment de consulter un thérapeute, qui pourra faire pratiquer les examens complémentaires nécessaires, comme l’EMG.
Après une grippe ou un coup de stress
Si on ne souffre pas d’une maladie grave neurodégénérative, qu’est ce qui peut bien faire démarrer un syndrome de fasciculation bénigne ? Pour certains spécialistes, ce syndrome serait une réponse post-virale à une infection, un virus ou une période de stress ou d’anxiété. Les causes ont du mal à être clairement identifiées, même si tout porte à penser que le sport à haute dose, la surmédication, une infection virale, l’injection d’un vaccin, la déficience en magnésium, parfois aussi en calcium et en potassium, et le stress sont des facteurs favorisants.
Peut-être un manque de magnésium ?
Le magnésium intervenant dans de très nombreuses fonctions, sa carence peut avoir pour conséquence des troubles cardiovasculaires, rénaux, osseux ou immunitaires. De récentes études ont montré que ce manque avait une répercussion sur les métabolismes des glucides et des lipides. Le déficit magnésique entraîne des troubles de la personnalité de type névrotique, une anxiété, une hypochondrie, des phobies voire une dépression. Un manque de magnésium provoque une hyperexcitabilité nerveuse et musculaire, avec survenue de crampes, fourmillements, sensibilité exagérée au stress, spasmes artériels, insomnies, augmentation du rythme cardiaque, réactions allergiques, vertiges, migraines, anxiété, hyperémotivité, fatigue psychique et musculaire, refroidissement des extrémités par temps froid et humide.
Chez le sujet en manque de magnésium, un stress aigu provoque une libération importante d’adrénaline par la glande surrénale. L’adrénaline entraîne une contraction musculaire, d’autant plus importante que le déficit est important. Cette contraction s’accompagne d’un effet de chasse du magnésium des cellules musculaires vers le plasma. Le rein élimine cet excès plasmatique de magnésium entraînant sa fuite urinaire.
Cette perte de magnésium accroît la vulnérabilité au stress. Après un stress aigu, un déficit en magnésium sera ressenti comme une sensation d’épuisement, une fatigue chronique, une fatigabilité à l’effort ou «des coups de pompe». Il aboutit à une dynamique auto-aggravante.
Traiter naturellement les fasciculations bénignes
Gérer son stress est un pivot du traitement. Le caractère psychologique des fasciculations bénignes ne doit pas être négligé. Parfois, leur manifestation augmente en fréquence dans les moments de stress, de fatigue ou d’anxiété. Essayer d’être plus routinier et de prendre du temps pour soi, pour des loisirs calmes (jardinage) est un premier pas vers l’apaisement des symptômes. Intégrer un peu d’activité physique à cette routine quotidienne est idéal. Yoga, Pilates ou tai-chi sont d’excellentes activités antistress.
Bien manger et à intervalles réguliers, éviter la caféine et les médicaments qui pourraient faire empirer les symptômes, s’assurer que l’on n’est pas allergique à certains aliments comme le gluten, certaines céréales ou les produits laitiers. Demandez évidemment conseil à votre thérapeute.
Consommer des épices qui ont une incidence sur les maladies nerveuses, comme le curcuma et le romarin, peut avoir un effet positif sur les fasciculations. C’est en tout cas l’avis du docteur Keith Scott, médecin depuis trente ans en Angleterre, qui a écrit de nombreux ouvrages sur la thérapie par les épices, dont le plus connu « Medicinal seasoning, the healing power of spices ».
Se faire masser, ou masser la zone où se produisent les fasciculations, peut avoir un effet très positif. Un massage à base d’huiles essentielles calmantes d’ylang-ylang ou de lavande assure détente musculaire et apaisement du système nerveux. Éviter cependant de pratiquer des massages dans la zone oculaire, trop sensible, et qui pourrait réagir à certaines huiles essentielles.
Le magnésium joue un rôle dans environ 300 réactions chimiques dans notre organisme. Son rôle, entre autres, est de contrôler le stress. La déficience en magnésium est souvent liée à un syndrome de fasciculation bénigne. Il est donc important de se suppléer. L’huile de magnésium peut être aussi appliquée en massages, cette forme galénique est intéressante car l’assimilation du magnésium est plus efficace que par voie orale.
Le sel d’Epsom est très apprécié dans les spas et instituts pour sa richesse en magnésium biodisponible qui lui confère son aptitude à détendre les muscles et à relaxer. Des bains de sel de mer sont recommandés dans les problèmes de fasciculations.
Se débarrasser des métaux lourds est essentiel
Les métaux lourds ont envahi notre environnement et nous intoxiquent au quotidien. Substances polluantes, pesticides, additifs alimentaires, amalgames dentaires, nous sommes confrontés involontairement à cet empoisonnement permanent. Nombre d’études ont prouvé l’effet négatif des métaux lourds que nous ingérons tous les jours. Non seulement notre organisme les absorbe, mais pire, il les stocke, car ils sont très difficiles à éliminer. Les métaux lourds se logent au cœur des tissus et empêchent bien souvent les antioxydants ou les minéraux vitaux de se fixer dans l’organisme. C’est ainsi que vous pouvez expliquer le fait que, bien que vous vous gaviez de magnésium, il n’y a aucun résultat. Un bon nettoyage pour évacuer les métaux lourds qui vous empoisonnent va permettre un rétablissement de la distribution des minéraux et des oligo-éléments dans votre organisme. Vous pourrez ensuite faire une cure de vitamines, de minéraux et d’antioxydants dont l’efficacité sera véritable.
Portez-vous mieux, |
Caroline Morel
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ALTERNATIVE Santé N°23 vient de paraître
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Dossier :
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