lundi 23 septembre 2013

La Thyroïde en question


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THYROÏDE, ILS ONT TROUVÉ UN FILON !

Depuis Tchernobyl, des millions de femmes et d’hommes s’interrogent sur la santé de leur thyroïde. Parfois avec raison, souvent à tort. On grossit un peu, le cou s’épaissit, on est fatigué, déprimé, constipé, de mauvaise humeur… c’est la thyroïde !
Bien sûr, il y a eu une explosion des cancers de la thyroïde en Europe depuis l’explosion de la centrale nucléaire en 1986, il y a eu aussi centaines de milliers d’hypothyroïdies et de thyroïdites chroniques, mais la catastrophe de Tchernobyl a initié un formidable business. Le dépistage thyroïdien s’est accru, les cabinets d’endocrinologie se sont remplis au fur et à mesure et les labos n’ont cessé de s’enrichir : un patient placé sous thyroxine, c’est un patient gagné à vie !

Une petite glande qui rapporte gros

La vague de thyroïdies post-Tchernobyl étant passée, comment explique-t-on l’« épidémie » galopante de dérèglements thyroïdiens qui sévit en ce moment même ? Pourquoi ces maladies, hypothyroïdie en tête, sont-elles autant diagnostiquées et pourquoi touchent-elles des personnes de plus en plus jeunes ?
En France, 15% de la population est touchée, on en est sûr : près de 10 millions de Français sont concernés. Mais pour certains endocrinologues nous serions 40% à être atteints (souvent sans le savoir) d’une maladie de la thyroïde.
Beau business, car à la clé, il y a des traitements lourds et onéreux : traitement hormonal substitutif à vie, irradiation de la thyroïde, ablation… et surtout, LA molécule, une même molécule pour tous, la thyroxine et un médicament incontournable, le Lévothyrox. Des millions de patients en dépendent ! C’est presque toujours ce médicament considéré sans équivalent que l’on prescrit (les génériques étaient mal dosés jusqu’à une époque récente) loin devant la L Thyroxine ou l’Euthyral…
Et « Surtout n’arrêtez jamais le Lévothyrox ! » vous conjurent les mauvais médecins qui fondent leur pouvoir sur la peur.
On a pu mesurer ce degré de dépendance au mois d’août par le début de psychose qui s’est abattue sur 3 millions de Français à l’annonce par les médias d’une soi-disant « rupture de stock » de Lévothyrox. Une petite défaillance d’approvisionnement montée en épingle, certes, mais on s’inquiéterait pour moins car si du jour au lendemain tous ces gens ne pouvaient plus s’approvisionner en thyroxine, ils n’auraient pour la plupart que quelques mois de survie devant eux.
Bien sûr la thyroxine sauve des vies mais Big Pharma a intérêt à mettre le plus de monde possible sous thyroxine : cette hormone-like chimique prenant la relève de la thyroïde, cette dernière cesse toute activité et l’opération vous met de facto sous dépendance totale des labos, à vie…
Que l’industrie manipule les esprits et pousse à la prescription, il n’y a pas de doute. Nonobstant, les conditions d’une vraie « épidémie » de thyroïdites sont bien réunies et je vais vous dire pourquoi.

Condamnée à perpète

Qui ne connaît pas au moins une personne dans son entourage souffrant d’une hypothyroïdie ? C’est bien souvent une femme (vous Mesdames êtes 5 à 10 fois plus touchées par cette affection), entre 45 et 50 ans (avec de plus en plus de cas vers 35 ans). Une femme qui vit sous la dépendance de la thyroxine, dans la contrainte perpétuelle, astreinte à une obligation de suivi et sujette à des effets secondaires fréquents, notamment en cas de surdosage (fréquents aussi) :
  • Maux de tête,
  • Coups de chaud ou coups de froid,
  • Nervosité ou irritabilité,
  • Diarrhées,
  • Troubles du cycle menstruel,
  • Crampes d’estomac ou douleurs abdominales,
  • Tremblements,
  • Tachycardie,
  • Perte de poids,
  • Perte de cheveux, etc. etc.
Sans compter que la thyroxine augmente les risques cardiaques et entraîne des carences en fer et calcium.

N’en faisons pas des tonnes pour commencer…

Contrairement à ce qu’on voudrait nous faire croire, à cet âge là et n’en déplaise aux médecins, un problème de thyroïdie est souvent banal. Quand les marqueurs n’indiquent qu’un léger dérèglement, ce n’est qu’un signe parmi d’autres de vieillissement et de plus grande fragilité. Un phénomène qui n’est pas automatiquement irréversible. Et même quand les marqueurs indiquent une maladie auto-immune (Hashimoto ou ce que vous voulez…) – et ça on se garde bien de vous le dire – il est encore possible d’agir.
Evidemment, une thyroïdie n’est pas un rhume : c’est un problème de santé qui exige la plus grande vigilance car il peut avoir de nombreuses répercussions. D’où l’intérêt de comprendre de quoi il retourne, de savoir comment s’en prémunir et comment le traiter naturellement mais sans danger !

Les métaux lourds : l’ennemi public n°1

On se focalise sur les radionucléides en circulation pour expliquer l’augmentation des problèmes thyroïdiens. C’est en effet par l’ingestion d’aliments contaminés par de grandes quantités d’iode 131 et de césium 137 que sont arrivés les cancers et les thyroïdites d’Hashimoto consécutives à Tchernobyl.
Mais il y a surtout des milliers de perturbateurs endocriniens qui sont susceptibles de dérégler nos glandes endocrines (voir l’article de Michel Dogna ci-dessus), la thyroïde étant particulièrement visée (c’est la plus volumineuse de nos glandes et une des plus accessibles).
Il y a aussi les médicaments (ceux qui contiennent de l’iode peuvent détraquer la thyroïde et certains l’impactent directement comme l’amiodarone (Cordarone), les glucocorticoïdes, les contraceptifs hormonaux, le lithium, les interférons…)… voilà autant de facteurs exogènes bien identifiés.
A la pollution s’ajoutent d’importants facteurs endogènes comme un stress intense, un conflit psycho-affectif, une insuffisance hépatique ou rénale fonctionnelle, un déséquilibre immunitaire, des prédispositions génétiques…
Mais la cause de plus en plus impliquée, ce sont sans conteste les métaux lourds. La thyroïde est une glande qui capte beaucoup d’éléments de notre environnement, en particulier buccal. C’est une éponge ! Outre les radionucléides, les métaux lourds se fixent dans la thyroïde. Le corps déclenche alors une activité immunitaire. La majorité des hypothyroïdies actuelles sont des thyroïdites autoimmunes dues aux métaux que la thyroïde a stockés. Quand la glande surstocke des éléments toxiques, le corps les prend en chasse, c’est logique. Et si l’on ne supprime pas la cause, cette chasse ne cessera de se poursuivre.
C’est la raison pour laquelle beaucoup d’entre nous (sachant que nous manquons aussi d’iode) présentent une hypothyroïdie larvée. Ce que l’analyse classique où l’on dose la TSH (l’hormone qui vient de l’hypophyse et stimule la thyroïde) ne montre pas. Un taux trop élevé de TSH dira que le travail thyroïdien ne se fait pas bien et que vous êtes en hypothyroïdie. Mais il est surtout important de mesurer les anticorps antithyroïdiens : c’est ainsi que l’on découvre très souvent une thyroïdite autoimmune, et c’est seulement ainsi que l’on pourra la traiter en allant à la cause.

Tous un peu malades ?

Pas étonnant dès lors qu’à partir d’un certain âge nous soyons tous un peu malade de la thyroïde. Et même si nous nous croyons à l’abri d’un dérèglement, un dysfonctionnement bénin ou passager nous pend toujours au nez.
Le plus fréquent est le nodule lié à une carence iodée ou en iodure de calcium organique. Un ami endocrinologue me racontait l’autre jour que si on faisait une échographie à 100 personnes qui passent dans la rue, on trouverait un petit nodule chez au moins 50 d’entre elles (5% de ces nodules évolueront en tumeurs). Mais le vrai problème de santé publique réside dans l’hypothyroïdie qui arrive 2ème au classement de ces troubles, loin devant l’hyperthyroïdie.
La thyroïde reste un organe assez mystérieux dont on ne sait pas dépister les petits troubles. Pour déceler un dysfonctionnement, on se contente souvent d’un dosage de la TSH qui indiquera simplement les plus grosses défaillances, mais c’est très insuffisant.
On peut être atteint sans le savoir parce qu’il est difficile de réaliser que l’on a un problème au seul examen des troubles récurrents que l’on ressent. Les symptômes et les signes cliniques sont trop divers et variés.

Le moyen le plus simple de détecter une hypothyroïdie

Pour le savoir, voici un test facile à faire. Il consiste à s’enduire une petite zone de bras ou de cuisse avec de la teinture d’iode. Si la tache marron disparait en quelques heures, c’est que l’on est en carence d’iode et donc obligatoirement en hypothyroïdie.
Curieusement les pharmaciens semblent avoir reçu des ordres pour bloquer la vente de la teinture d’iode qui subitement serait devenue dangereuse alors que nos grands-mères en mettaient une goutte dans les biberons pour activer le développement cérébral des bébés. A croire que le crétinisme lié à l’hypothyroïdie arrange les gouvernements…

Carence en iode : un problème alimentaire encore !

L’augmentation phénoménale des cas de nodules thyroïdiens et d’hypothyroïdie laisse penser que nous sommes en majorité carencé en iode.
Les causes des carences en iode proviennent d’un mauvais apport (iode de synthèse mal assimilé), d’une alimentation trop pauvre en iode ou calcium d’origine marine (pas assez de poisson, notamment de sardines à l’huile avec les arêtes, de fruits de mer, d’algues) mais aussi de la consommation d’aliments goitrigènes (crucifères, manioc, sorgho, patate douce), qui libèrent des thiocyanates empêchant la captation de l’iode, ou d’autres aliments perturbateurs de la glande comme le chou, le chou-fleur, le rutabagas ou le navet.

La solution préventive la plus simple

Si vous présentez des symptômes comme une frilosité, une fatigue et une prise de poids ou si votre thyroïde augmente en volume alors que votre fonction thyroïdienne (TSH) est normale, demandez à votre médecin de vérifier que vous ne soyez pas carencé en iode.
Pour le savoir il suffit de faire un petit test urinaire, une iodurie (une vingtaine d’euros non remboursés). En cas de test positif, mangez des algues (bio) ou prenez de l’iode en gélules. Les médecins d’antan donnaient de l’iode avec du lait pour dégonfler les goitres. C’était aussi une mesure prophylactique.
Cette solution est aussi utile en cas de thyroïdite autoimmune : dans ce cas la thyroïde est diminuée dans son fonctionnement non seulement en raison des attaques autoimmunes mais en plus parce qu’elle manque d’iode, l’élément qui lui apporte ses « briques de base » : si vous n’avez pas d’iode vous ne fabriquez pas d’hormones thyroïdiennes.
La solution des gélules est la plus sûre (en termes de quantité et de qualité) : on les trouve en pharmacie et en compléments alimentaires. Votre choix doit se porter de préférence sur un produit naturel à base d’algues. Je vous recommande particulièrement l’algue brune Laminaria japonica. Elle apporte un taux d’iode organique intéressant tout en régulant grâce à d’autres composants, le métabolisme thyroïdien et du système nerveux. En plus elle favorise la chélation des métaux lourds…

Un traitement de substitution complet

Vous vous êtes (ou on vous a) détecté une hypothyroïdie ? Vous souffrez d’une hypothyroïdie autoimmune ? C’est le moment où jamais d’essayer un protocole naturel qui peut vous éviter bien des tracas.
La médecine officielle ne prend en compte que les apports en iode. Pourtant d’autres nutriments sont indispensables au bon fonctionnement de la thyroïde. En voici trois, essentiels :
- La L-tyrosine : cet acide aminé que l’organisme peine à fabriquer en vieillissant est un précurseur des hormones thyroïdiennes (thyronine, thyroxine ou T4).
- Le zinc : il intervient dans la conversion de la T4 en T3 (et comme il est principalement présent dans les aliments carnés, les végétaliens et les végétariens en manquent plus souvent).
- Le sélénium : il entre dans la composition de l’enzyme qui active cette conversion (T3 -> T4) et participe aux défenses antioxydantes locales (la thyroïde est de tous les organes celui qui concentre le plus le sélénium). De nombreuses études ont mis en évidence son utilité, y compris dans les maladies autoimmunes de la thyroïde et dans l’hyperthyroïdie.
Vous pouvez vous procurer chacun de ces nutriments séparément, mais il existe aussi des compléments qui associent ces éléments comme celui-ci par exempIe, baptisé Hypothyr, qui contient, en plus de la Laminaria japonica, de la L-tyrosine (200 mg par gélule) d’origine laitière (sans résidu de type caséine ou lactose évidemment), des oligoéléments (fer, zinc…), des vitamines (E, B1, B2, B6, B8 et A) et qui y ajoute du Commiphora Mukul, une plante de la médecine ayurvédique, apporte en plus des guggulstérones qui combattent les triglycérides et le mauvais cholestérol accompagnant l’hypothyroïdie.
En cas d’hypothyroïdie autoimmune confirmée, je vous conseille vivement, de prendre en complément de ces nutriments un modulateur immunitaire du type de Moduloplex, un complément à base de sitostérol et de sitostéroline (tirés de l’écorce du pin) qui permet de stimuler la « bonne » immunité en diminuant l’immunité inadéquate (autoimmune).

Ne vous trompez pas de médecin

Si vous êtes déjà sous Lévothyrox et que vous voulez tenter l’expérience mais que vous n’avez pas la chance d’avoir un médecin à l’esprit ouvert, vous n’éviterez pas les cris d’orfraie. Au mieux le toubib vous rira au nez et vous dira que c’est « le Lévothyrox à vie, point !» et qu’il n’est pas question qu’il cautionne cette folie !
Alors ne vous laissez pas intimider par votre médecin, donnez-vous un peu de temps. Si nécessaire, je vous conseille de vous trouver un autre médecin qui travaille autrement que le généraliste lambda.
Le Dr Nathalie Calame, généraliste homéopathe qui exerce en Suisse, appartient à cette catégorie de médecins qui soignent à la cause. La plupart de ses patients, et ce sont surtout des femmes, suivent ce traitement naturel. Et dans bien des cas elle pu diminuer ou arrêter le Lévothyrox ou les médicaments du même genre. J’ai donc demandé à cette thérapeute d’expérience de nous donner quelques règles de base.

D’abord, on n’arrête jamais d’un coup le Lévothyrox

Il est important d’introduire ces produits naturels (à fortes doses au début, avec 3 gélules d’Hypothyr par exemple) en gardant dans un premier temps la même dose de Lévothyrox. Dans la foulée on testera régulièrement l’activité de la thyroïde et si les marqueurs sanguins se stabilisent on peut alors progressivement baisser la dose de thyroxine par pallier jusqu’à s’en passer. Sans cesser de la supplémenter avec des « briques de base » qui vont lui permettre de se remettre au travail.
Le pire qui puisse arriver c’est que ce traitement naturel ne suffise pas. Mais que risque-t-on alors ? Rien. On a toujours devant soi quelques semaines de latence et si ça ne va pas il suffit de reprendre de la thyroxine, c’est tout. Ce n’est pas bien grave. Cela arrive dans certains cas, quand la thyroïde est trop démolie ou quand on l’a laissée trop longtemps sous Lévothyrox (cette molécule faisant le travail à sa place elle finit pas se scléroser en quelque sorte). C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il est conseillé, quand on est sous traitement classique, de toujours apporter à sa thyroïde des « appuis logistiques » sous forme de compléments pour la stimuler un minimum.
Si toutefois vous décidez de suivre ce traitement sous votre propre responsabilité (c’est votre droit absolu) – ce qui est plus facile quand on n’est pas encore sous traitement officiel - pensez pour vérifier ses effets à cette vieille méthode de toubib, le test de la teinture d’iode dont je vous ai parlé : enduisez-vous chaque jour une petite zone de bras ou de cuisse. Cela ne pourra faire que du bien à votre thyroïde et le jour où la peau ne l’absorbera plus, ce sera le signe que l’organisme n’en a plus besoin. Mais l’effet de ces remèdes s’exprime aussi souvent en 2 ou 3 semaines (voire quelques jours) par une atténuation de la fatigue et un retour d’énergie.
Evidemment, si ce test reste désespérément négatif ou si vos marqueurs signalent une aggravation au bout de quelques semaines, allez vite consulter ou revenez vite à votre hormone de synthèse. On ne plaisante avec la thyroïde. Mais au nom de ce même principe, ne pensez-vous pas que cela vaille le coup d’essayer autre chose que les hormones de synthèse à perpète ?
Prenez soin de vous !

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    1 commentaire:

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