éviter. (au fait, tout le soja sur le marché est Monsanto = OGM)
LES OGM STÉRILISERONT L’HUMANITÉ
AU BOUT DE 3 GÉNÉRATIONS
On soupçonnait déjà que la perte de la fertilité était au nombre des graves dégâts occasionnés par les OGM, or une étude récente va dans ce sens. Une étude qui, si elle n’est pas étouffée, pourrait avoir un grand impact sur les décisions à prendre à l’avenir !
C’est une étude, dont les résultats frappants viennent d’être présentés à la presse russe dans le cadre des Journées de Défense contre les Risques Environnementaux. Elle est même évoquée par Jeffrey Smith, fondateur de l’Institute for Responsible Technology aux États-Unis, une « référence » dans le monde des OGM avec son ouvrage Seeds of Deception (littéralement «Les semences de la tromperie») publié en 2003.
C’est une étude, dont les résultats frappants viennent d’être présentés à la presse russe dans le cadre des Journées de Défense contre les Risques Environnementaux. Elle est même évoquée par Jeffrey Smith, fondateur de l’Institute for Responsible Technology aux États-Unis, une « référence » dans le monde des OGM avec son ouvrage Seeds of Deception (littéralement «Les semences de la tromperie») publié en 2003.
Menée conjointement par l’Association Nationale pour la Sécurité Génétique et l’Institut de l’Écologie et de l’Évolution, cette étude russe a duré deux ans, avec des hamsters de race Campbell, qui se caractérisent par un taux de reproduction très élevé. Ainsi, le Dr Alexey Surov et son équipe ont nourri pendant deux ans et d’une manière classique les petits mammifères, à l’exception près que certains d’entre eux ont été plus ou moins nourris avec du soja OGM résistant à un herbicide et régulièrement importé en Europe.
Les détails de l'étude
Au départ, 4 groupes de 5 paires (mâles / femelles) ont été constitués :
- le premier a été nourri avec des aliments qui ne contenaient pas de soja,
- le second a suivi un régime alimentaire qui comportait du soja conventionnel (non OGM),
- le troisième a été alimenté avec en complément du soja OGM
- le quatrième groupe a eu des plateaux repas dans lesquels la part de soja transgénique était plus élevée que dans ceux du troisième.
À la fin de cette première phase, l’ensemble des quatre groupes a eu en tout 140 petits. L’étude s’est poursuivie dans une deuxième phase par la sélection de nouvelles paires issues de chacun de ces premiers groupes. Et, dans la logique du déroulement, les nouvelles paires de la deuxième génération ont, elles aussi, eux des petits, créant de fait la troisième et dernière génération de cobayes. C’est ainsi que :
- dans le premier groupe (qui n’a pas consommé du tout de soja) il y a eu au final 52 naissances à la troisième génération,
- dans le second groupe (qui a consommé du soja conventionnel) il y a eu 78 naissances.
- dans le troisième groupe, (celui qui a été nourri avec du soja OGM), il n’y a eu que 40 petits, dont 25% sont morts.
- dans le groupe qui a consommé le plus de soja OGM, une seule femelle a réussi à donner naissance à 16 petits au total, dont 20% sont finalement morts.
Le résultat est clair
La troisième génération des hamsters qui ont eu dans leur menu une part importante de soja OGM, n’était pratiquement plus capable de se reproduire.
Mais une autre surprise de taille a été observée : certains de ces hamsters issus de la troisième génération se sont retrouvés avec des poils dans la bouche, un phénomène d’une extrême rareté.
Selon Jeffrey Smith, l’étude du Dr Surov et de son équipe pourrait bien «déraciner» une industrie qui vaut plusieurs milliards de dollars. L’affaire est donc à suivre, mais, quoi qu’il en soit, depuis l’introduction en 1996 dans l’environnement et dans la chaîne alimentaire de produits agricoles transgéniques, les risques qui y sont liés restent encore très largement inconnus car (volontairement) très peu observés. Cela faute d’études suffisamment longues et indépendantes, mais aussi à cause du refus des semenciers de publier leurs propres études (sauf sous la contrainte juridique) pour des raisons de stratégies industrielles et commerciales.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, le principe de précaution, dans ce domaine, est effectivement balayé, alors que les incertitudes scientifiques qui demeurent devraient justement le mettre au cœur du processus d’évaluation. L’ennui, c’est que nous tous, les consommateurs, sommes au bout de la chaîne alimentaire : alors finalement dans l’histoire, qui sont réellement les cobayes ?
La question "carton rouge"
Et si les promoteurs des OGM étaient déjà depuis longtemps secrètement au fait des résultats de l’étude russe, ce qui est très probable, ne s’agirait-il pas là d’une botte secrète ayant pour but une dépopulation-retard massive face à la croissance démographique galopante actuelle (80 millions d’humains en plus chaque année en dépit des maladies, des accidents et des guerres), n’épargnant que les générations de rebelles méfiants qui arrivent à échapper à la moulinette.
Déjà, les milieux médicaux constatent, discrètement, une augmentation inquiétante d’avortements non désirés et de bébés mort-nés dans les maternités. Mais le pire à craindre est le développement des dérives génétiques donnant lieu à des malformations dramatiques et des dégénérescences neurologiques – une calamité prenant la forme d’une punition générale de la part des lois de la vie face aux graves infractions faites à la nature.
OGM = Organisation du Génocide Mondial
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